EXPRESSIONISME : L’expression des sentiments et des émotions est le seul but, sans faire beaucoup d’attention de la nature.
L’époque de l’Ecole de Paris datant entre 1907 et 1939 y inclure la première guerre mondiale et aussi la montre de Hitler et ses opinions antisémitiques qui causèrent des problèmes graves pour le groupe des artistes immigrés et juifs. Tous les artistes
rentrèrent à leur pays d’origine pendant la guerre, Chagall et Katz en Russie, Modigliani en Italie, Weber aux Etats-Unis. Quelques firent preuve de leur dédicace à leur nouveau chez soi et ils battirent dans les champs de bataille, comme Kisling par exemple. Pendant que les artistes essayaient de joindre les deux bouts avant et entre
les deux guerres, les marchands, collectionneurs et les critiques faisaient gonflé la réputation des artistes ‘exotiques’ et ils en profitaient. Par la suite, malgré leurs origines et leur style exotique et étrange, l’expressionnisme en est venu à représenter la peinture moderniste de la France.
Pourquoi quittèrent-ils leur pays natal ? A part de l’attrait de Paris qu’on va scruter prochainement, les artistes de ‘L’Ecole de Paris’ étouffaient dans leur propre pays et culture d’origine. Ceux qui venaient de l’Europe de l’est en particulier, vivaient dans un monde orthodoxe juif extrême où l’imagerie et les arts plastiques étaient un grave tabou. Ils échappaient leur famille, leurs traditions et ils les ramenèrent à la cité de lumière. Il semble qu’ils aient transporté leur monde avec eux et résultat dans une air de nostalgie dans la plupart des œuvres de cette époque qui contraste dramatiquement avec les activités bohêmes de ses peintres.
Pourquoi venir à Paris ? Premièrement, dans le dix neuvième siècle, les universités français ouvrirent les portes aux immigrants et pour la première fois, l’asile politique fut codifié pour qu’un individu pouvait demander d’asile officiellement. Ce n’est pas étonnant que des milliers d’artistes y aient afflué sur Paris dans les années suivantes. Les Parisiens les accueillaient à bras ouverts parce qu’ils considéraient cet afflux d’immigrés comme la résistance contre l’aristocratie et les royalistes.
Paris n’était qu’un centre industriel et politique majeur du mode entier, « qu’un paradis artificiel et un sanctuaire de la culture » (Paul Valery 1959) Son attraction consistait en ceci que toutes ces attributs s’y combinent et Montparnasse, un quartier banal et insignifiant jusqu’à cette époque-là, est devenu un foyer d’innovation.
Nulle part dans cette ville, sa vitalité ne s’est affirmée autant que dans ce coin surtout pour les artistes de la campagne traditionnelle qui pouvaient enfin s’exprimer librement. Paris et la France nourrissaient ce développement, son appel vers la création et la progression vers l’avenir était toujours irrépressible.
Malgré le soutien et l’encouragement des artistes étrangers de la part du marché d’art et des critiques, la grande ‘Ecole des Beaux Arts’ sur laquelle la réputation mondiale et prestigieuse d’art classique de Paris s’est basée n’acceptait pas d’immigrants. Bien
que quelques artistes de l’Ecole de Paris allaient aux petites écoles à Montparnasse, ils ne supportaient pas le système qui resta toujours rigide et fortement consacré aux traditions du classicisme du dix huitième siècle.
Malheureusement, encore que ait considéré l’art de l’école de Paris comme le leader mondial des arts plastiques, le fait qu’ils aient été juifs causait des problèmes dans un monde de plus en plus antisémitique et xénophobie. Les salons d’art à Paris primèrent une décision controversée lorsqu’ils exposèrent tout l’art selon la religion, les origines et la race de l’auteur. Ils créèrent une distinction vaste entre les artistes de « chez nous », y inclus ceux qui se sont assimilés complètement dans la société française, et notamment pas juifs (Picasso, Van Gogh) et ceux qui apparemment abâtardissaient les traditions françaises. Les salons réduisaient l’art de ceux-ci à l’art primitif, même s’ils employaient des techniques et couleurs pareilles. En faisant une acte tel discriminatoire, les salons par conséquent incitèrent les convictions que le primitivisme de l’Ecole de Paris montrait leur manque de goût, raffinement et entraînement. Leur emploi de la couleur était mal vu, même vulgaire pendant que celui de Matisse était ingénieux. Sans fondement, le primitivisme de l’école de Paris avait deux implications, les artistes venaient des pays primitifs mais aussi on considéra la religion de judaïsme comme primitive dans un pays si laïque que la France. Même le titre ‘L’Ecole de Paris’, est lourd de suggestion. Selon Warnot, ce titre était non discriminatoire, il définit que l’art de la France représentait que l’art pur et indigène à la République, par contre, l’art de la capitale faisait référence à l’art crée à Paris par les cosmopolites, soient les immigrants. En 1937, l’état construit deux nouveaux musées, Le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris et le Musée des Monument Français. Les deux musées s’exprimaient eux-mêmes la profondeur des distinctions culturelle et géographique du moment.
Comme on pouvait s’y attendre, l’influence des Nazies dans les années trente causa ainsi l’interdiction des immigrants et des juifs sûrement, à exposer leurs œuvres. Donc on s’y trouve en 1939 où ‘L’Ecole de Paris’ ferma ses portes imaginaires. Malgré toute la discrimination contre les membres de ce mouvement comme Chagall, Kisling et Modigliani, Montparnasse était sans doute le centre du monde en concernant l’art avant-gardiste. Les créateurs se réfugiaient dans un pays qui paradoxalement avait la réputation d’une société libre et qui embrassait la culture. La France voulait profiter des innovations des artistes étrangers mais elle les persécutait en même temps. Néanmoins, personne ne peut se douter l’influence et l’importance de Montparnasse et ‘L’Ecole de Paris’ dans le monde d’art même si elle a disparu aussi rapidement qu’elle ait apparu.
Concernant Paris comme un zone de refuge, au début du vingtième siècle, il semble que c’était le seul choix pour un artiste persécuté par les croyances orthodoxes des juifs et les limitations de la campagne. Il n’y avait nulle part si ouvert et si accessible. Bien qu’il y ait un élément de fuite dans la migration actuelle des artistes immigrants, (les femmes arabes et les chinois soupressées par exemple) il semble qu’ils choisissent plutôt Paris pour ses avantages économiques pour un créateur. Il est un peu injuste à dire que les raisons monétaires sont une priorité, mais Paris n’est plus la seule possibilité pour un créateur étouffé et le gouvernement français le sait. Donc, il offre un coup de main aux artistes pour que Paris devienne un choix facile. Il faut qu’on n’oublie pas que Paris reste aussi libéral aujourd’hui qu’avant et sans son ouverture, il n’aurait jamais été un choix pour un innovateur créatif.
Le thème de deplacement se trouve significativement dans le travail des deux époques. Les tableaux de Chagall et Lipchitz faire le portrait d’un artiste troublé dans une capitale moderne avec un air de nostalgie facilement reconnaissable et leur style était le premier pas d’abstraction. Ce nouveau style de déconstruction et simplification était une façon dont ils s’exprimaient, vu la situation de deplacement qu’ils avaient sous les bras. Les artistes immigrés à Paris en ce moment créent d’art abstrait de l’extrême, l’évidence de modernisation et la migration en masse, mais il y a toujours un élément de nostalgie, quoiqu’il soit moins évident. Il parait que l’art actuel des créateurs étrangers soit crée sous l’effet de mondialisation et le monde entier plutôt que Paris, la ville.
Finalement, selon moi, il est devenu apparent que la France et sa capitale soient aussi profusément fières d’art crée par les étrangers habitant à Paris que les artistes cent pour cent français. Son ministère de la culture est un des majeurs cabinets du gouvernement et il consacre un grand pourcentage du budget aux arts en général. Par la suite, le public est vastement au courant de l’histoire d’art de leur pays et du monde entier. Les enfants avec qui j’ai parlé, reconnaissent les œuvres de Monet, Picasso et Pollock à la différence de Grande Bretagne où l’art n’est pas de notoriété public, même pour les adultes. Pendant tout les mois où je suis restée à Paris, j’étais toujours étonnée que tout le monde s’intéresse à l’art et que le rayonnement d’art soit si profond. Le manque de savoir du monde d’art en Angleterre par rapport à la France est un autre sujet à examiner mais il me semble que l’art est considéré moins important à l’école que les sciences par exemple. Une indication peut être la révolution industrielle qui est un génie britannique est qui est toujours la base de sa culture.
Au sujet des bourses et soutien fournis par le gouvernement, ils ont fait merveille pour le profil des artistes français et pour la connaissance du public des artistes vivant et travaillant à Paris, en résultant dans un marché d’art fleurissant. Paris a eu le dessus dans la lutte pour le titre de la capitale d’art au monde de nouveau.
Chapitre II ‘Des Artistes Etrangers à Paris des Temps Modernes’
L’occupation Nazie de Paris ravageait la scène artistique parisienne. Les Nazies détruirent les peintures du style d’expressionnisme qu’ils on qualifié de ‘dégénéré’. Non seulement parce que ce style était grâce à le travail d’un mouvement dont quasiment tous les artistes étaient juifs, mais aussi parce que l’expressionnisme et l’art moderne sont basés sur la libre pensée et la progression.
Entre les années quarante et quatre vingt dons, peu a vu l’intérêt de retourner à Paris. Des artistes découvrent les Etats-Unis et ils s’y installèrent où tout le monde s’exprime ouvertement. A part des artistes surréalistes et du style abstrait de Dadaïsme, qui passèrent pas mal de temps à la capitale, il n’y avait pas vraiment un communauté d’artistes étrangers ni un environnement accueillent qui les aurait pu attirer. Disons, jusqu’à la fin du siècle. Selon le ministre de la culture et de la communication, M. Jean-Jacques Aillagon, en février 2004, il y a « 25 000 artistes et professionnels de la culture de nationalité étrangère qui viennent travailler » et vivre à Paris. On pose la question de nouveau, pourquoi ont-ils quitté leur pays natal et pourquoi sont-ils venus travailler à Paris ?
Parmi cette nouvelle génération d’artistes immigrés, qui travaillent et exposent leur art dans les galeries parisiens, la moitié est là depuis les années quatre vingt, d’autres depuis les années quatre vingt dix. Plus en plus arrivent chaque jour. Ce n’est pas étonnant que beaucoup parmi eux soient du Maghreb, de partout en Afrique du Nord, les anciennes colonies de la France, mais il y a nombreux qui viennent de la Chine et du Taiwan, et un minorité de l’Amérique du sud. Il deviendrait évident lorsqu’on évalue la situation politique, sociale et politique dans chaque région.
Les artistes nord africains, principalement des femmes, sont venus à Paris quand la situation s’est dégradée pour les artistes. Cette dégradation fait appel à la mémoire des artistes de ‘l’Ecole de Paris’ du début du vingtième siècle. Le fait que les arts plastiques et l’expression soient mal vus (surtout crée par des femmes dans une culture musulmane) cause l’échappement des artistes à Paris. La capitale de la France est un choix évident et facile pour les artistes Maghreb grâce a la langue commune.
Le deuxième important groupe d’artistes étrangers à Paris en ce moment vient de la Chine et Taiwan. Ce groupe d’artistes nomades a quitté la Chine principalement à cause du manque d’appréciation d’art dans une société communiste extrême. Le gouvernement chinois impose strictement son régime de travail et son système collectiviste sans regard pour l’expression stylistique et individualiste. Ainsi, personne en général, ne value l’art ni l’achète. Bien qu’elle soit en train d’améliorer, la situation économique de la chine ne peut pas tenir compte pour la vie d’un artiste, donc il y a peu d’écoles d’art et soutien pour ceux qui aspirent à devenir artistes.
Tous les artistes immigrés à Paris en ce moment d’origine chinoise maghrébin, sud américaine, ou aussi est européen ont trouvé qu’il n’y a pas la place de l’art dans leur pays écrasé par les conflits, problèmes politiques, religieux ou économiques. La migration culturelle existe parce qu’ils trouvent le phare qui est situé à Paris, celui qui attire et sert de guide pour les créateurs perdus. La France accueille des artistes attirés par un environnement culturel propice aux échanges et à la liberté de création qu’ils ne peuvent pas trouver d’autre part.
Dans le quotidien ‘Le Figaro’, le ministre de la culture et communication, M. Jean-Jacques Aillagon exprime ses aspirations et convictions en ce qui concerne les artistes étrangers ainsi que leur accueil à Paris. Il souligne que « l’ouverture aux créatures du monde entier est l’une des qualités les plus constants de la culture française ».
On trouve l’évidence de l’ouverture française dans la capitale à la Cité Universitaire, où la mise en place de programmes d’accueil, hébergement et travail est un des facteurs clé de l’attrait de Paris aux artistes étrangers. A la Cité Universitaire, ils croient qu’il est nécessaire d’accompagner les artistes pendant leur séjour, à la fois administrativement et artistiquement. Dans chaque maison de la ‘Cité U’, il y a nombreux ateliers et chambres disponibles pour des artistes aussi qu’une galerie pour exposer.
Ce n’est que la France qui voudrait enficher son rayonnement culturel. A l’échelle internationale, l’UNESCO (L’Organisation Pédagogique, Scientifique et Culturelle des Nations Unies) établit un système des bourses à la disposition des artistes et musiciens qu’on appelle ‘Les Fonds Internationaux pour la Promotion de la Culture’. L’histoire de ces bourses commença à Paris lorsqu’un couple philanthrope a fait don de leur maison magnifique en banlieue de la capitale à l’UNESCO. Avec le profit de la vente en 1994, l’UNESCO créait des établissements pour des artistes, ou on tient de stages gratuits, quelconque l’origine du stagiaire. Actuellement à Paris, il existe une programme en particulier. CAMAC, une des résidences fourni par l’UNESCO, fait un concours pour des jeunes artistes de l’Amérique Latin, L’Asie et l’Europe de L’Est. Ce n’est pas par coïncidence alors que la plupart des artistes migrants soit d’origine asiatique, américaine latine ou est européenne.
Sur un niveau national et régional et non exclusivement pour les artistes immigrés, FNAC (Fonds National d’Art Contemporain) est une organisation incroyablement genreuse qui a trois axes principaux :
- De découvrir de jeunes artistes
- D’acheter des œuvres marquantes des artistes vivants
- D’être « représentatif des courants de l’art international ».
Exécutés entre 1994 et 1997, des sondages auprès de tout les créateurs qui benedictus de FNAC, 50 pour cent entre eux étaient de nationalité étrangère. FNAC seul dépense 3 millions euros par an pour acheter des nouvelles acquisitions. Egalement, le gouvernement créa deux institutions additionnelles qui opèrent sur les même trois principaux. Le FRAC (Fonds Régionaux d’Art Contemporain) et FIACRE (Fonds d’Incitation à la Création).
Quant au sujet de taxe et des avantages dont l’artiste peut profiter, il n’existe pas de statut fiscal à proprement parler (comme en Ireland !) qui pouvait attribué à l’attrait de Paris. Néanmoins, les artistes plastiques sont exonérés de la taxe professionnelle lorsqu’ils vendent leur propre art ou œuvre.
Il est évident que Paris est un des premiers choix pour un artiste qui se trouve persécuté ou sans soutien dans son propre pays natal. Il y a tout à sa disposition ; l’hébergement, un atelier, le soutien monétaire aussi qu’un mécène chantable, un environnement parfait pour mêler à leurs camarades français afin de faire progresser le monde d’art. Ce n’est pas exactement clair pourquoi faire don tant d’argent à la disposition des artistes immigrants.
A mon avis, les temps ont changé et Paris ne s’imposait plus comme la capitale de création, soit à cause des guerres mondiales, soit plusieurs gouvernements conservatifs soit la compétition des autres villes plus modernes. Si la France ne peut plus être la capitale la plus moderne ni la capitale du finance, industrie, exportation, les français se trouveraient perdu au monde. Une nation toujours fière qui avait un rôle majeur politiquement et économiquement (jusqu’à le vingtième siècle), Elle cherche un moyen à remettre Paris en vedette. Un peu cynique ? Peut être.
Il y a pas mal de temps depuis que le gouvernement commença à rétablir Paris comme le centre d’art par excellence, mais en ce moment, la culture française se porte bien. Il est indisputible que son dynamise et son rayonnement est grâce au présence dominant des artistes migrants à Paris.
Chapitre III ‘Le Déplacement, Dans Quelle Mesure a-t-il Influencé l’Art’
Vu qu’on a découvert les raisons pour que les artistes soient venus et viennent toujours à Paris, il est nécessaire qu’on scrute le rôle de déplacement dans leur œuvre.
C’est vrai que le déplacement fait refléter et refocaliser profondément. Et pour un artiste, il leur sert d’inspiration. Le territoire où on se trouve est synonyme d’identité, pourtant cette idée cause des problèmes pour des artistes nomades comme ceux à Paris. Le premier étant le danger d’oublier leur histoire et héritage en résultant dans s’absorber entièrement dans la nouvelle culture. Une artiste qui est victime de ce piège, crée une copie de ses pairs sans originalité et il est souvent humilié pour avoir oublié ses racines. Le deuxième est le danger de se souvenir et de ne pas se développer. Un artistes se détruit à cause de nostalgie et son travail s’agit toujours que de son histoire sans influence de ses nouveaux expériences. Pourtant, on peut bien comprendre ce deuxième problème parce qu’un immigrant révère toujours ses racines. Le plus que les temps passent, le plus qu’il garde ses mémoires à l’eau de rose.
Ainsi, l’art de l’étranger, au début du vingtième siècle et aujourd’hui, devient de plus en plus abstrait afin de prendre du recul par rapport à l’histoire et le présent. Comme L’artiste Chen Zhen (1955 – 2000) dit, « La question de l’identité n’est plus simplement, ‘d’où venez-vous’ mais ‘où allez-vous ?’ »
On commence avec un regard aux artistes de l’Ecole de Paris. Leur style qui en enjambe plusieurs et qu’on définit d’un mélange du genre figuratif et couleurs vives de fauvisme avec l’inspiration des formes fracturées de cubisme. Le début d’Expressionnisme et d’Abstraction. Ce qui distingue les artistes de l’Ecole de Paris des autres artistes aussi inspirés par cubisme est la nostalgie. Trouvée dans pas mal de peintures de cette époque, la nostalgie des racines juives traditionnelles donne un élément unique. Cet élément se trouve en particulier dans les nues languissantes de Amedous Modigliani et aussi le série ‘Stettle de Chagall. Cependant les artistes Pascin, Brooks, Soutine avaient une passion de la modernité, vivant dans la capitale de modernisme. Néanmoins, les sujets de leurs tableaux sont axés sur les conséquences de modernité : la migration humaine en masse. ‘Angoisse du Départ’ de De Chiciro est un premier exemple de surréalisme et elle représente la vision du voyage d’un migrant. Les œuvres de l’Ecole de Paris ne constituent qu’un style original mais aussi un sujet qui n’était pas accessible aux autres artistes de cette époque.
Le déplacement en général fait beaucoup souffrir et on voit souvent l’imgae d’un immigré qui a du mal. Ce n’est pas etonnant donc que les artistes de Montparnasse aient choisi de présenter leur douleur dans leur art en utilisant une combinaison de nostalgie, observation et innovation.
Les créateurs actuels ne sont également assaillis pas les mêmes dangers des artistes du début du vingtième siècle. Il faut qu’ils arrivent à trouver un équilibre entre la nostalgie et l’innovation. Deux artistes en particulier, Ladan Shahrolih Naderi d’Algérie, Hsei-Fei Chang de Taiwan, Chen Zhen de la Chine et leur travail sont l’incarnation de nostalgie et d’innovation grâce à leur déplacement à Paris. Les deux ont fait parti d’une expo au Gare de l’Est, consacrée à l’Ecole de Paris y inclure le travail de 25 artistes étrangers, vivant et travaillant à Paris. Comme leurs prédécesseurs, leurs œuvres plus que d’autres portent la marque de cette vie transitoire et transculturelle. Naderi a crée des sacs de voyages et des livres d’occasion français et chinois, mais dans cette installation il y avait aussi une barrière de chantier sur laquelle, elle a écrit en arabe. Ce mélange reflet ses amalgames culturels, un mélange bizarre d’un Paris modern, multiculturel sans manquant un élément de nostalgie de sa terre natale.
Hsei-Fei Chang une artiste taiwanaise a aussi honoré l’Ecole de Paris dans ses œuvres. ‘Promène Kiki’, la performance vidéo de 1997 incorpore des sentiments de Chang et les liens entre les deux filles qui se trouvent des étrangers à Paris.
Selon Chen Zhen, il se trouve toujours dans un état de sans domicile culturel et au centre de son travail est de ‘trans-expérience’ qui lui permettait de surpasser les limites géographiques, politiques et stylistiques. Malgré cela, même le maître de trans-expérience ne pouvait pas s’éloigner de la nostalgie bien qu’il créait d’art super abstrait et avant-gardiste. ‘99 Chaises d’Enfants du Monde Entier’ où Chen Zhen a transformé des bougies en petites maisons sur 99 chaises qu’il enleva des écoles autour du monde. L’idée de migration est centrale dans cette installation qui était mise en place que à Paris. Les sculptures reproduisent la réflexion de l’artiste sur la planète, la France et Paris. Il met en relation l’humanité et l’objet concret y développe les rapports entre la culture traditionnelle et l’art contemporain. Les éléments les plus importants dans cet œuvre sont les bougies, symboles de la vie d’un homme en Chine. Chen Zhen s’est rendu compte des deux dangers d’un artiste et il a soulignée exactement les sentiments d’un émigré à Paris, dans n’importe quelle époque.
« Il est certain que j’ai subi l’influence de la culture occidentale, cette influence a toujours fait partie de ma stratégie, maîtriser les règles du camp adverse afin de mieux contrôler le mien »
La Conclusion
En gros, les artistes de ‘L’Ecole de Paris’ se servaient de l’attitude française très libre et sa réputation dans le monde artistique grâce aux artistes impressionnistes du siècle d’avant et les institutions classiques bien connues. De nos jours, Paris est le premier choix pour un artiste étranger parce que le gouvernement fait tout son possible pour les recruter en offrant un pot-de-vin monétaire sous forme d’un atelier, un patron et la place d’exposer. Dans nos temps, le monde d’art est plutôt organisé par les autorités mais le futur est ainsi concret et sur pour les artistes étrangers. En revanche, Paris a perdu son mystère et sa bohémie célèbre avec le démise du mouvement des artistes de Montparnasse. Il me semble que si une idée est imposée comme celle du gouvernement français, le résultat et un peu artificielle donc la scène artistique est une touche stérile. Pourtant, il est vrai que la réputation de Paris à son apogée a collée. Cela combiné avec l’enthousiasme du Ministre de la Culture et de la Communication abouti à un retour des grands noms de la mode (Karl Lagerfeld, Chloe etc) et de la création en général.
Concernant Paris comme un zone de refuge, au début du vingtième siècle, il semblait qu’il était le seul choix pour un artiste persécuté par les croyances orthodoxes des juifs et les limitations de la campagne. Bien qu’il y ait un élément de fuit dans la migration actuelle des artistes immigrants, (les femmes arabes et les chinois restreints par exemple) il semble qu’ils choisissent Paris pour ses avantages économiques pour un créateur.