Creative Assignment on Candide
mercredi 12 septembre 2007 Francophone 10 N.S. Travail Créatif Lettre de Liebniz à Voltaire Cher Voltaire, Je vous écris cette lettre, peu après avoir lu votre conte philosophique, Candide. Il est clair que votre objectif en écrivant ce conte était de tout simplement ridiculisé la doctrine leibnizienne. Vous tenez si
fort à souligner l’absurdité de mes enseignements, de tourner en ridicule l’idolâtrie de la raison. Plusieurs de mes collègues, affirment qu’a travers le portrait ironique de Pangloss, vous essayé de peindre une caricature de moi-même. Pensez-vous vraiment que mes années décrites sont de la métaphysico-théologo-cosmolonigologie ? Ai-je jamais dit que le mal n’existé pas du tout ? Il me semble que vous avez très mal interprété ma théorie, or j’ai décide de vous donné une bref leçon, espérant d’éclaircir votre confusion. Voici ma thèse en quelques mots : « Si Dieu existe, il est parfait, et il est seul parfait. ...
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fort à souligner l’absurdité de mes enseignements, de tourner en ridicule l’idolâtrie de la raison. Plusieurs de mes collègues, affirment qu’a travers le portrait ironique de Pangloss, vous essayé de peindre une caricature de moi-même. Pensez-vous vraiment que mes années décrites sont de la métaphysico-théologo-cosmolonigologie ? Ai-je jamais dit que le mal n’existé pas du tout ? Il me semble que vous avez très mal interprété ma théorie, or j’ai décide de vous donné une bref leçon, espérant d’éclaircir votre confusion. Voici ma thèse en quelques mots : « Si Dieu existe, il est parfait, et il est seul parfait. S'il est parfait, il est donc tout-puissant, toute bonté et toute justice, et sagesse. Or, si Dieu existe, il n’a pas voulu, et su créer le moins imparfait des mondes théoriquement concevables: le meilleur des mondes possibles ». Certes, le mal existe, je ne le nie pas ceci. Mais tous les souffrances du peuple ne pouvaient être réduites, et en fait ils ne sont des afflictions que pour ceux qui les souffrent, car ils trouveraient leur justification si nous pouvions, comme Dieu, voir l'ensemble. Monsieur Voltaire, ignorait vous ceci en écrivant Candide? Dans ce travail, vous ne repreniez pas tout mon raisonnement, mais uniquement ma conclusion, sans vous soucier de son contexte. De plus, vous traîner votre héros de mésaventure en mésaventure, pensant que votre œuvre pourra réussir à séparer le peuple de son optimisme, de son espoir de prospérité. Vous tenté de raillé l’optimisme en crayonnant un mode complètement mélancolique, jugeant que cela va donné plus de crédibilité à votre position. Est-ce cela vraiment le moyen de d’établir votre position à l’égard de mes enseignements? Je vous le dis nettement, vous avez eu tort. Est si en faite ma thèse était celle que vous prétendait quel soi, je vous répondrai qu’elle celle ci ne pourrait être invalidé par aucune expérience. Quels que soient les maux que vous trouver à m’opposer, que ça soir, la guerre, le tremblement de terre, la cruauté de certain hommes, j’aurai toujours la même réponse a vous offrir: chacune de ces afflictions était indispensable pour contribuer à un univers meilleur dans son ensemble. La raison pour laquelle vous vous fixé sur le mal est parce que il vous manque le recul pour comprendre l’importance de ces maux. Néanmoins, j’applaudis votre tentative, mais je pense fort qu’elle est parti on vain. La tristesse qui honte ce livre me pense à croire que vous souffrait d’une tristesse profonde, hors vous refusez de détachez les chaînes qui vous laisse prisonnier de ce chagrin. Je pense que vous essayé de noyer tout un peuple avec vous afin que vous ne souffrait pas tout seul, et vous m’avez vus comme étant la cible idéal. Il me semble que votre narcissisme vous pousse à imposer vos convictions sur ce peuple optimiste. Avec ce genre de mentalité, je vous assure, vous n’irez nul par. Certes, vous devez pensé que j’étais un peu dure dans ma lettre, mais vu le contenu de votre livre et l’objectif derrière votre œuvre, il me semble tout à fait naturel d’exprimer mon mécontentement. N’aillez aucune crainte, je ne vous déteste pas, et je n’ai nul l’intention de vous bafoué en public. Vous avez eu tort, on est tous humain après tout. Mais ne désespérez pas, avec un peu de recul, vous aller tiré quelque chose de bon de cette échec. Sincèrement, Leibniz