Il y a très peu des bruits extradiégétiques. Une scène notable, c’est lorsque Hubert fume l’herbe dans sa chambre. Au début, du reggae est joué sur le piste son, qui insinue un sens de élévation pendant qu’il dors. Il change soudain, quand nous entendons une voix, et maintenant, la chanson est jouée sur le radio, de mauvaise qualité, qui crée de chute du sublime au ridicule. Les bruits d’ambiance sont accentués, par exemple, les pas sur le gravier et le claquement des portes. Ceci ajoutes au réalisme du film, et le donne l’impression d’être très minable. En résumé, on peut voir que dès le début du film, l’image des banlieues en est un sombre. Puisque il commence avec un mort, et une découverte d’un arme, parce que il nous permit la possibilité que cela aura importance plus tard.
Quant aux personnages dans ce film, il n’y a ni des méchants ni gentils. Chacun a leurs propres failles, soit-il la police, soit les banlieusards. Le premier fois qu’on rencontre Hubert, il est présenté être plus puissant que les autres, tandis qu’ils rends lui visite, et il est en train de donner des coups de poings. C’est lui qui fournit l’espoir de s’échapper, mais le manque de opportunités suggère que ce n’est qu’une façon de le surmonter. Peut-être, s’il avait vraiment les plans de faire quelque chose mieux, il ne serait pas avec Vinz et Saïd de tout. Pendant qu’il condamne le comportement de Vinz contre la police, il participe volontiers à causer les difficultés, par exemple, quand ils vont voir Abdel à l’hôpital. Souvent, on voit un plan de sa visage, regarder grave et plongé dans ses pensées. Son comportement décline au cours du film, on le voit vaincre la gallérie d’art pour aucune raison. Peut-être en cause de son mal traitement par la police à Paris, il croit que c’est plus facile de répondre à l’attente des autres comme un malfrat, que faire quelque chose pour le changer.
Saïd n’est ni l’espoir ni le désespoir. En savant qu’il n’y a pas de sortie, il a accepté sa place dans les banlieues, alors il est content de prendre les risques. C’est possible qu’il est la seule raison que Vinz et Hubert sont toujours les amis – il essaye de trouver un second plan entre les deux. Il est évident du début du film que la future tien peu pour lui. Contrairement aux beaucoup de films qui établit un intrigue ou un embarras dans les premières scènes, la Haine nous monts la trivialité de sa vie, comme faire le graffiti sur l’estafette, et la querelle insignifiante avec la soeur de Vinz. Il reste toujours enthousiaste et le plus inquisiteur des trois, et quelquefois il semble stupide et agaçant, contre l’apathie de Hubert et Vinz, par exemple, quand ils sont aux toilettes, et il ne comprend pas pourquoi l’homme les a dit l’histoire de son ami. Ceci serait interprété comme un métaphore pour leurs vies : qu’il n’y a pas des réponses de leurs problèmes.
Finalement, il y a Vinz. Il est un lâche, bien qu’il essaye d’avoir l’air robuste. Ceci est évident dès que nous le voit devant du miroir, « C’est moi que tu parle ? ». En pratiquant cet acte, il nous donne l’impression que c’est l‘image d’être assassin plutôt qu’en avoir une raison vrai. Son insistance reste un thème tout au long du film, et il aide progresse l’intrigue. On ne le prend jamais au sérieux, en cause de son imbécillité claire et le manque de respect qu’il gagne des autres. Un exemple, c’est quand il décrit les événements des émeutes et il en parle avec beaucoup de enthousiasme, mais Hubert et Saïd ne sont pas impressionné et ils ignorent ses essaies de se le vanter. Une interprétation possible, c’est que cette conversation référence les films qui rendent séduisant la violence, et en se moquant Vinz, le film surligne la même attraction qui attire les publics aux films de crimes. Cependant, son agressivité et son apparente détermination de tuer quelqu’un nous indiquent que tout n’ira pas bien.
La police bien sur, joue un rôle important en créer une image forte des banlieues. En général, ce n’est pas positif. Quoiqu’il y en ait plusieurs qui soient violent, la plupart d’eux sont assez passive, montré premièrement au début de film, quand on les voit devant du commissariat de police. Tout est très immobile et rien n’exprime aucun, qui donne une impression de futilité. Il y a souvent un sens que la police est spectateurs à cote des banlieusards, par exemple après l’incident à l’hôpital. Samir est la seule qui monte la passion et l’énergie pour sa travaille, et la seule que les autres connaissent personnellement. Il parle de la justice et aide aussi souligne les différences entre les garçons par leurs réactions à lui. De l’autre part, il y a la police de Paris. Il est un sens optimisme faux pour un peu, quand Saïd demande es directions d’un agent, et il est étonné par sa courtoisie. Mais finalement, c’est les agents qui abusent leur puissance qui mener à la tragédie.
Ces représentations des personnages, et leur réalisme, suggèrent que oui, il y a des grands problèmes sociaux et économiques, mais c’est le choix de l’individuel qui peut vous aide, ou vous faire tomber.
Il y a une certaine inévitabilité d’une mort dans le film. Premièrement, l’intrigue ne nous offre pas d’alternatif. Rien dans la histoire ne suggère qu’il y a, ou aura, une opportunité pour les personnages de s’échapper. Hubert est le seul qui a des espoirs, mais on les voit disparaissent au cours du film. Il est quelqu’un qui gagne notre respect, alors on sait que la phrase, « Jusqu’ici, tout va bien …c’est pas la chute, c’est l’atterrissage…» auras pertinence plus tard dans le film. Vinz est un signe certain que l’histoire se terminera mauvais. Nous ne le croyons pas forcement qu’il tuera, mais il crée une tension, et nous savons que la seule fin sera violente.
Pour conclure, La Haine représente les banlieues être un lieu vide d’opportunité. Ce n’est pas toujours en cause de la police, parce que il nous monte qu’il y a ceux qui sont raisonnable, ou les jeunes, qui ont un choix, même à l’intérieur des limitations des banlieues. Le réalisme des personnages évite le risque des stéréotypes, et on n’assume pas que juste car ces jeunes échouent, tout le monde est condamné.