Le nombre d’immigrés compte 4.166.000 en 1990. Il représent 7,4% de la population totale. Ces chiffres sont restées stables depuis le recensement de 1975. Elles sont un peu plus élevées qu’en 1962 où elles représentaient 6,1 % de la population totale. En 1990, duex tiers des immigrés ont gardé leur nationalité d’origine, un tiers sont devenus français par acquisition.
Mettere figura pagina 1 dell’ hanout Etrangers et immigres
DIVERITÉ DES ORIGINES, DES SEXE ET ÂGE
Pendant le vingtième siècle les ondes d’immigration ont subi des changements. Avant la Première Guerre mondiale, l’immigration était quasi exclusivement européenne, et la plupart venaient des pays comme l’Italie et la Belgique. Avec la création de l’ONI (Office National d’Immigration 1945), le courant migratoire en provenance d’Algérie s’est développé. Au cours des années soixante-dix, immigrés du Portugal, du Maroc, d’Afrique noire et d’Asie du Sud-Est sont arrivés sur le sol français.
Mais quel est la situation de l’immigration aujourd’hui? Les cinq communautés les plus nombreuses, sont aujourd’hui les originaires du Portugal, d’Algerie, d’Italie, du Maroc et d’Espagne qui représentent 60% de la population immigrée.
En considérant la structure par sexe et âge, la population immigrée a toujours comporté une majorité d’hommes. Dans l’entre-deux-guerre période, la portion des femmes immigrée, était moins de 44%. La convention de Genéve (1945) qui est à l’origine de la pratique actuelle d’asile, a permis le regroupement familiales et la population immigrées’est féminisée. Depuis 1945, la portion des femmes dans la population immigrée a augmenté régulièrement jusqu’à atteindre 48% en 1990.
Le déséquilibre entre hommes et femmes différencie selon le pays d’origine. Parmis les immigrés provenus d’Afrique, les femmes sont relativement peu nombreuses : on compte quattre femmes pour six hommes. Parmi les immigrés des pays d’Europe, les femmes sont plus nombreuses que les femmes immigrée venus d’Afrique : on compte cinq femmes pour six hommes.
En analysant la structure par âge des immigrés, il faut souligner que, en 1990 les hommes de 40 à 44 ans et les femmes de 35 à 40 ans était les plus nombreuses. Les pays de Turquie, d’Asie et d’Afrique comptent la plus forte proportion de jeunes de moins de 25 ans.
Répartition des immigrés selon l’âge et les pays d’origine
L’HISTOIRE DE L’IMMIGRATION
L’immigration en France était un phénomène très développé pendant l’entre-guerre période. De 1919 à 1930, le gouvernement français avait signé des conventions d’ immigration avec plusieurs pays européens. Mais pourquoi la France avait-elle le besoin d’accepter les immigrés? La reponse à cette question, se trouve dans un phénomène démographique. Dans cette période-là, la France avait une baisse de la fécondité, en plus, lorsque la conflit s’est terminé, la population active française a subi des pertes considérable: 1,4 million d’hommes jeunes ont été tués ou sont invalides. Par conséquent, la main-d’œuvre devenait insuffisante pour développer un fort secteur industriel.
Donc les annés vingt seront-elles marquées par une immigration massive. En 1931, le pays comptait 2,7 millions d’immigrés qui représentaient 6,6% de la population totale. Le phénomène de l’immigration a été principalement lié à la situation économique internationale. En effet, lorsque la crise économique des annés trente se passait, l’immigration a fortement ralenti. En 1932, plusieurs lois et décrets ont rendus plus difficile l’employ de travailleurs étrangers.
L’immigration a repris pendant l’anné 1939, lorsque la Seconde Guerre mondiale a suscité nombreux départs. En 1946, le nombre d’immigrés est retombé à 2 millions, qui correspondait à 5 % de la population. À la suite du second conflit mondial, priorité est donnée à la modernisation du pays. Pour atteindre ces objectifs, l’État a encouragé officiellement l’immigration afin de résoudre l’insuffisance de main-d’œuvre.
L’Office national d’immigration (ONI) est creé en 1945 pour assurer le recrutement et l’employ des travailleurs étrangers et aussi pour contrôler le flot d’immigration. Dans cette période-là, la France a signé aussi la convention de Genéve qui est à l’origine de la pratique actuelle d’asile. L’immigration, qui repredait dés 1945, se manifestait comme une grande onde. Selon le recensement, les immigrés correspondaient à 7,4 % de la population totale.
Lorsque la crise économique internationale des annés soixante-dix a cré un forte chaos dans le monde entier et dans la France aussi, le gouvernement français à arrêter l’immigration et à restreindre l’arrivée des clandestins. En effet dans le 5 juillet 1974, l’immigration est officiellement suspendue et dans le 21 novembre 1975, un décret a autorisé l’expulsion des clandestins et l’établissement d’un régime plus restrictif.
La politique des années 80 est marquée par une plus grande tolérance. Des possibilités pour régulariser le séjour des immigrés sont leurs données. En même temps, le gouvernment a cherché de facilité l’insertion des immigrés, par l’amélioration du logement, de la scolarisation et de la prevention de la délinquence. Aujourd’hui la France compte 4,5 millions immigrés mais il est très difficile établir le nombre précis des immigres parce que en France il y a beaucoup des clandestins.
DEUXIÈME PARTIE
L’INTÉGRATION
L’intégration est les plus diffus problème qui est lieé à l’immigration. En effet selon Jean Faber « L’immigré est celui qui se trouve en difficulté d’intégration et il est défini par l’apparence (coleur de peau, accent, vêtement…) ». Cette cotisation est une vérité universelle parce que aujourd’hui réactions de xénophobie et de racisme sont très diffues. Beaucoup d’experts croient que l’État français doit (debba) traiter ce problème très vitement. Mais il est aussi vrai que les solutions nécessitent du temps, de la patience et une tolérance mutuelle.
Pendant les années soixante-dix l’État français a encouragé l’intégration de les immigrés. Il a cherché d’insérer tous les immigrés qui vivaient dans horribles habitations, dans les HLM (Habitation à Loyer Modéré) pour les intégrer avec les citoyens français. Par malheur ces efforts n’ont pas avu aucune succès. Par conséquent de un procès de sélection naturel, lorsque les immigrés sont venus à habiter dans les HLM les citoyens français se sont transférés dans autres quartiers. La distance qui séparait les immigrés avec les français était trop grande pour être résolue.
LES CONDITIONS DE LOGEMENT
La concentration des immigrés dans des longements précaires et dans les HLM a un effet de marginalisation et induit le racisme des populations françaises environnantes. Au même temps, certains jeunes issus de l’immigration se tounent vers la delinquance 17 % ou bien cherchent à compenser les situation d’anomie dans un renforcement de leur identité religieuse.
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