Un immigré comme Saïd, a beaucoup de soucis concernant son integration dans la société Française. Il a dit qu’a cause d’où il vit et l’origine de ses parents, les employeurs ne veulent pas l’employer. Il sait que le marché du travail est inaccessible. Les emplois disponibles ne sont que les petits boulots plus vulnerables pour les non-qualifiés, dans des secteurs à fort taux de chômage. Aussi, à cause des cité-dortoirs, Saïd n’a pas pu avoir ses copains chez lui parce qu’il n’y a rien à faire. Dans l’ensemble il n’a pas un sens d’identité comme il n’est pas consideré comme Française quoiqu’il ne parle pas d’autre langue que le français, sa langue natale.
On doit examiner les différences entre les immigrés et les étrangers. Le Front National sont contre les immigrés, mais pourquoi pas les étrangers? D’aprés “Alternatives Économiques”, les étrangers sont les personnes qui n’ont pas la nationalité française et les immigrés sont ceux qui, nés à l’étranger, vivent en France. Un étranger peut donc ne pas être un immigré. Toutes deux sont des constructions historiques, socials et politiques, à mon avis.
L’article d’“Alternatives Économiques” nous donne des idées pour l’intégration, comme le “contrat d’intégration” que le gouvernement vient d’annoncer d’ici fin 2003. Ces measures vont, dans le bons sens, notamment réduire les difficultés que recontrent les étrangers face à l’emploi. Mais, Jean-Pierre Raffarin a indiqué que les élections locales n’étais pas au programme de la législature, qui support l’argument de “L’Opinion Française.” Nous apprennons l’hiérarchie des immigrants et les attitudes avant et après la guerre et au sujet de l’identité nationale. Il est clair que cet article aborde le sujet de façon totalement différente. Dans “Conférence Économique” on peut voir les problèmes pour les Algérians, et aussi les modes d’intégration, comme le logement dans des cités ou des quartiers ouvriers où se développent des sociabilités contribuant à l’intégration.
On peut tenir différents discours sur la violence urbaine à l'intérieur des banlieues. Une banlieue est une région qui existe à l'exterieur d'une ville ou une cité. Pour un grand nombre de adolescents, les bagarres dans la rue sont un « rituel ». Il soulève néanmois une question essentielle- « Est-ce que la banlieue française est un terrain propice à la violence ? » Presque chaque semaine, on trouve dans la presse des articles portant sur les problèmes dans les banlieues en France. Il n'est guère possible d'ouvrir le journal sans y découvrir un nouvel exemple de jeunes délinquants ou une annonce que le taux de criminalité a augmenté dans les banlieues. Généralement nous considérons certaines banlieues comme les zones Interdites. Par exemple, Saint-Denis, prés de Reims, est un banlieue qui est trés dangereux la nuit. C'est une déclaration qui doit retenir notre attention. Je debattrai l'education familiale des jeunes, leur education scolaire, le tissu socio-économique des banlieues et les autres facteurs qui contribuent au tissu des banlieues. Prenons comme point de départ les genres du crime qui existent dans les banlieues. Il y a des problèmes qui existent depuis longtemps, par exemple les viols, les meurtres et les cambriolages, mais récemment des nouveaux délits ont paru, par exemple les émeutes urbaines qui regroupent un grand nombre des jeunes. Un problème dont il est souvent question aujord'hui dans les banlieues c'est le quantité de délits qui sont engagé par les jeunes. La délinquance est devenue un phénomène d'expression sociale. Auparavant, le nombre de mineurs délinquants n'était pas important. Cependant, près de 30% du total des mis en cause sont plus jeunes, plus récidivistes, plus violents. La délinquance des mineurs poursuit son explosion statistique, commencée en 1994 jusqu'en en 1998, le chiffre a atteint environ 25%. Mais pourquoi ? Il est vrai aussi que les médias n'ont pas aidé. Les médias n'aident jamais parce qu'il provoque ces issues à notre attention, et souvent ils encouragent les autres gens de se conduire d'une manière semblable. Après 1998, il y a eu une augmentation dans le nombre des agents de police, surtout dans les balieues pour les jeunes le nuit, donc le nombre de crimes a diminué et la première constation qui s'impose est que les chiffres à propos du taux de criminalité ont diminués voir stagné de 1998- 2000. Les statistiques de la police et de la gendarmerie ont fait état d'une diminuation moyenne des crimes et délits de 4,0% à 5,0% en 2000. Mias en 2001, on peut constater une hausse dans le taux de criminalité de 2%. Je pense que le taux de criminalité est un probème dans les banlieues auquel doit face le gouvernement. Malheureusement, beaucoup de chômage existe dans les banlieues. C'est malchanceux, mais c'est vrai, et les habitants doivent habiter avec ce problème. Le taux de chômage dans les banlieues est de 67%. Un grand nombre de gens qui habitent dans les banlieues ont appris que c'est trop dificile trouver un emplois, et c'est plus facile rester sur les allocations de chômage. Prenons le cas de Val-Fourré. Le revenue moyen dans ce quartier, en Paris, pour l'année dernière était vers 70.000 francs. C'est un chiffre trés bas, mais c'est dificile pour changer le chiffre, dû à un manque d'emplois. On pourrait creér plus d'emplois et je pense que c'est un problème majeur. Un autre problème qui existe est le manque de la motivation avec les gens, surtout les jeunes. Le chômage est un problème qui provoque un nombre des réponses des gens surtout la violence. Les jeunes peuvent gagner plus d'argent que leur parent. Seulement 45% des gens quittent école avec un diplôme. Un manqué de motivation parmi les jeunes a surgi du retrait de la vie familial. Souvent, les familles sont composé des parents au chômage, et les enfants qui ne sont jamais à l'école. L'absentéisme est devenu un grand problème dans les banlieues, mais pourquoi ? Et comment peut-on résoudre le problème ? Monsieur Chirac veut encourager la création d'emplois face à la violence urbaine. Il s'est livré à une analyse détaillée des causes de la violence urbaine. Le chef de l'Etat ajoute « et c'est sans doute le plus grave, le développement d'un chômage de longue durée ». On exagérerait à peine en disant que il n'y a rien pour les jeunes dans les banlieues. Flâner sur les rues la nuit peut être dangereux, surtout pour les plus jeunes, âgé de treize ans. Les bandes peut être faire, et fréquemment mener à la violence et la délinquance. Un grand nombre des jeunes sont plus récidivistes et plus violents. Le ministère de l'éducation entend encourager les « écoles de la deuxième chance », ces établissements qui proposent aux élèves en grande difficulté une alternative au moule traditionel. Les chiffres officiels estiment à 57.000 le nombre de jeunes qui, malgré un long passage dans l'enseignement secondaire, en sortent sans aucune qualification ni diplôme. C'est un problème que nous pouvons résoudre si nous prenons les jeunes des rues et les mettons dans les établissements éducatifs. Il me semble qu'un autre problème est le fait que les enfants des banlieues se retrouvent tous dans des écoles défavorisées. Ainsi, ils se retrouvent dans le même univers social. Si on peut résoudre le problème des jeunes dans les établissements éducatifs on peut résoudre le problème de la violence. Beaucoup des habitants dans les banlieues sont des groupes ethniques minoritaires. Les indésirables et les fainéants ont souvent le statut d'étranger, par opposition à un Français de souche. Cela peut attiser les passions, les tensions et une intensification de la violence entre les familles. Un grand nombre de gens pensent que la France ne devrait pas permettre les immigrés dans le pays. En trente ans, plus de 12 millions d'étrangers etaient entrés ou nés en France. Bien que la France connaisse un nombre record d'immigrés, il y a une répartition inégale sur le territoire. Les banlieues recoivent un grand nombre d'immigrés parce que ce sont des endroits oú sont construits des HLM. N'ayant aucune ressources, ils y sont placés par l'état. Malheureusement, un nombre de problèmes existent dû à les tensions xénophobes. Une concurrence d'emplois et un manque de logement sont les problèmes qui peuvent provoquer la violence. Les immigrés peuvent encourager la violence parce qu'ils peuvent être exposés aux attaques racistes. Quelles conclusions peut on tirer de cela ? On peut conclure en disant que c'est impossible prédire ou changer des conséquences des vies des jeunes qui deviennent adulte dans les banlieues. A mon avis, les banlieues françaises sont les terrains propices à la violence pour de nombreuses raisons, surtout le chômage, les écoles de favorisées et le répartition géographique. Le taux de criminalité a augmenté depuis l'année dernière, et ce n'est pas seulement les banlieues qui ont un problème majeur avec la violence. Je pense que c'est les établissements scolaires que devraient contrôler la violence. Il y a un grand nombre de résolutions qu'on peut faire pour réduire le taux de criminalité. Il serait préférable de ne pas renvoyer les écoles qui sont gênants tout de suite, mais les aider et aussi c'est important que le gouvernement crée les emplois dans les banlieues. L'état devrait répartir les immigrés d'une manière equitable. Tout cela pourrait éviter des émeutes urbaines.
Les émeutes par les jeunesses fâchées ont commencé dans les banlieues Octobre 27 de Paris et ont continué de nuit pendant presque deux semaines, rapidement se écartant à 300 villes et villes françaises et devenant le plus grand soulèvement social depuis 1968. Le gouvernement a déclaré un état d’urgence qui donne à police des puissances spéciales de contenir le malaise et est valide jusque novembre à 20. Plusieurs gouvernements étrangers ont conseillé leurs citoyens d’éviter les communautés où la violence s’est produite et d’orienter clairement des démonstrations de la sorte. L’ambassade des Etats-Unis à Paris a conseillé des visiteurs arrivant ou partant de l’aéroport de Charles de Gaulle International de Paris pour éviter de prendre le train à ou de la ville parce qu’elle fonctionne par un des secteurs affectés. Des autobus ou les taxis d’aéroport sont recommandés. Pour la plupart la violence s’est produite dans des touristes d’endroits ne vont pas typiquement, mais s’il continue ou écarte plus loin, elle pourrait affecter le voyage et le tourisme.
Au dessous est un débat pris du Le Monde journaux:
“L'intégralité du débat avec Patrick Braouezec, député (PC), président de l'agglomération Plaine Commune. , mercredi 09 novembre 2005”
Que pensez-vous de la violence urbaine actuelle ? Y a-t-il des causes qui justifient cette violence urbaine, selon vous ?
Patrick Braouezec : Je serais tenté de dire que rien ne justifie ces violences et notamment les conséquences de celles-ci. Mais beaucoup de choses les expliquent. Ces violences sont comme d'autres symptômes moins médiatiques et moins dramatiques – je pense à l'abstention lors des scrutins électoraux, au rejet des politiques –, des symptômes d'une crise de société qui n'est pas spécifique aux banlieues dont on parle, mais qui est une crise plus globale qui prend, y compris d'autres formes, dans le milieu rural par exemple. Si l'on ne fait que constater ces violences et qu'on n'analyse pas en profondeur les causes qui les provoquent, on aura beau mettre un couvercle sur la marmite, à la prochaine étincelle, la marmite débordera de nouveau.
Quelles sont les causes de cette "révolution" selon vous ? Seulement une inégalité entre couches sociales ?
Patrick Braouezec : C'est une part des raisons. Les inégalités n'ont jamais été aussi importantes et flagrantes. Ce sont à la fois des inégalités sociales, de traitement territorial. Ce n'est pas la seule raison, quoique les discriminations que subissent aujourd'hui un certain nombre de jeunes – discrimination au logement, à l'embauche, aux stages, à l'accès à des endroits publics ou privés – ajoutent des éléments de révolte aux inégalités sociales premières. Et j'ajouterai que l'une des raisons est aussi sans doute ce "no future" que ressentent beaucoup de gens, et pas que des jeunes. Aujourd'hui, dans notre société, il n'y a plus de projet politique porteur qui permette à chacun de se projeter dans l'avenir.
Banlieues en crise, dit-on. La crise sociale est évidente, mais les émeutes ne sont-elles pas aussi et surtout le résultat d'une crise politique, d'une défiance profonde à l'égard des "élites" ?
Patrick Braouezec : J'ai déjà en partie répondu précédemment. A mes yeux, il n'y a pas de crise de banlieue, il y a une crise de l'Etat, une crise de société, dont les banlieues ne sont finalement que le révélateur. Et pour cause, puisque c'est dans ces quartiers que sont vécues les conséquences directes de cette crise de l'Etat et de la crise de société. Mais de manière plus profonde, c'est à une mutation de société que l'on est confronté. La crise étant cette période incertaine qui nous fait passer d'un Etat clos, d'un monde clos, à un monde à construire, mais dont on a beaucoup de mal à dessiner les formes.
Comment, maintenant et dans l'urgence, entrer en contact avec ces jeunes qui vivent dans leur monde régi par leurs codes, qui ne croient plus à la sincérité des élus de notre société ? Comment le faire alors que toutes les médiations (associatives par exemple) ont été cassées par le manque de crédits ?
Patrick Braouezec : D'abord, tous les ressorts ne sont pas cassés. Pour avoir réuni, dimanche midi, le tissu associatif de la communauté d'agglomérations que je préside, le lien entre le monde politique, le tissu associatif et ces jeunes qui ne se reconnaissent pas dans n'importe quel collectif n'est pas complètement rompu. La preuve en est que depuis dimanche, le retour au calme se fait, sans doute grâce à cette action concertée des élus locaux et des citoyens adultes associatifs. Reste que le discrédit du monde politique est une réalité, qu'il faut reconstruire une relation de confiance, que celle-ci ne peut pas se faire sur la base de propos soit démagogiques ou, à l'inverse, de seuls propos de fermeté. Les jeunes, comme l'ensemble des gens qui vivent dans ces quartiers populaires, sont conscients que l'on ne fera pas tout du jour au lendemain, mais que des engagements doivent être pris et que l'on doit se donner les moyens d'un vrai contrôle par les citoyens du respect de ces engagements.
Faut-il faire le lien entre les affrontements entre les "jeunes" et l'immigration ?
Patrick Braouezec : Il est difficile de ne pas le faire, puisque bon nombre de ces jeunes sont issus de l'immigration. Mais il faut le constater avec le regret de voir que nous n'avons pas su faire en sorte que ces jeunes se sentent partie prenante d'un corps social, d'une unité nationale. La question qui est donc posée à l'ensemble des politiques, c'est de tordre le cou à tous les racismes, à toutes les discriminations et à toutes les segregations.
Que penser d'un gouvenement qui abrite en son sein un pompier pyromane, en l'occurrence M. Sarkozy ?
Patrick Braouezec : Le problème est de savoir si le pompier pyromane est seul dans la caserne ou bien si c'est une grande partie de la caserne qui laisse faire le pompier pyromane... L'intervention de M. de Villepin à la télévision avant-hier soir était – tout écart de langage excepté – du même ordre que celles du ministre de l'intérieur. Pour ma part, je ne crois pas que ce dernier ait utilisé les mots provocateurs sans y avoir réfléchi. Et sans avoir quelque part pensé qu'il pouvait être soutenu par une majorité de ce gouvernement. Je crains qu'on ait un gouvernement qui ne mesure pas la souffrance dans laquelle se trouvent aujourd'hui une majorité de gens qui vivent dans ces quartiers populaires.
Ces violences sont-elles un mal pour un bien, selon vous ?
Patrick Braouezec : Il est toujours difficile de dire que ce qui s'est passé est un mal pour un bien. Les familles des quatre personnes qui ont péri durant cette période, les personnes qui ont perdu un bien, une voiture, des équipements publics, montrent qu'il est difficile de dire cela. Par contre, si l'on veut justement que tout cela ne se soit pas passé pour rien, que ces quatre personnes ne soient pas mortes pour rien, il faut sans doute faire un effort d'analyse, de compréhension de ce qui s'est passé et de recherche de solutions qui ne soient pas un énième plan d'urgence, mais qui posent bien la place centrale que doivent jouer les quartiers populaires dans le devenir de notre société.
Dans l’ensemble, l’immigration touche beaucoup la société Française. La majorité des problemes sont causés par le racisme. Les grandes inquietudes parmi les Français de souche proviennent de couleur de peu, de politiques différent ou la religion. Les Français de souche ont peur que leur société et culture soient enterré et perdues pour la jeune génération. Les ados issus de l’immigration souffrent du racisme et trouve que c’est dûr pour s’intégrer dans la societé française. Malgré ces faits, ces ados pensent eux-mêmes être Français et préferent leur mode de vie.
A mon avis, on devrait traité les immigrés avec plus respecte. La probleme concernant l’immigration serait réctifié si on ameliore la mode de vie dans leurs pays d’origine et donne les meilleur traitement en nos pays.
Glossary
pub-mtl.qc.ca/Violence/jeunes/prevenir.html Philip Allan Updates L'Express Magazine