La Haine : Vue réaliste de la zone ?

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La Haine : Vue réaliste de la zone ?

 ‘La Haine’ par Matthieu Kassowitz est un film sur trois adolescents, le trio – Un noir, Un ‘beurre’ et un juif, nomme Hubert, Said et Vinz.  Ce film nous raconte la vie de ces jeunes qui habitent dans les cites en dehors de Paris – milieux populaires  pour les immigres, caractéristiques sociales minorités.  

Ce film en noir et blanc nous montre une fiction très détaille tourne autour des faits réels et sociaux : Le phenomene dit ‘des banlieues’ ou des ‘ghettos’  qui veut dire des problemes d’interrogation, de violences raciales ou autres. Le film nous donne l’impression d’être un reportage ou un documentaire sur la banlieue, avec la musique hip hop regroupant les jeunes et utilise un langage fort. Le film nous laisse sentir une certaine réalité.

Il y avait une émeute et Abdel a été admis à l’hôpital suite des blessures graves cause par la police.  Les trois adolescents veulent visiter leur ami a hôpital  Vinz a trouve un pistolet appartenant à la police.  Si Abdel meurt, le trio veut le venger.  C’est ce qui provoque plusieurs évènements jusqu'à la tragédie.  La police est responsable !

Le film nous montre comment ces jeunes adolescents sont souvent traits différemment en raisons de leurs cultures et leurs milieux différents : Rapport avec l’autorite et la police (violence, haine, rebellion racisme et bavures policieres.    Il y a le problème d’intégration sociale ou professionnelle.  Il y a aussi le rapport entre la banlieue et les médias, le mal être des banlieues (l’enfermement et l’exclusion),  les armes a feu, la drogue – la  présence de la police dans tous les lieux.  Face à l’autorité -  a la police -  au pouvoir et donc de la révolte.

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Il est vrai que certains policiers commettent des abus et des ‘bavures’ mais pour mieux apprécier la situation il vaudrait mieux faire un tour sur une banlieue.   Les policiers sont confrontes tous les jours par ces adolescents qui ne les respectent pas.  C’est leur métier de faire ses jeunes respecte la loi.  Pendant que ces jeunes brûlent des voitures, le ministre ne les autorise pas d’intervenir.  Donc quand ils se font moleste et même tuer, on se dit que c’est leur métier, malgré que ce n’est pas leurs conditions de travail.

Il y a beaucoup de racisme ...

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