Le Lac, c’est un poème romantique. Donc, on voit l’aspiration du narrateur de vivre dans un monde idéaliste où on peut sauver ses heurs heureux du passage de temps. Il y a aussi un contraste entre l’éternelle (le lac) et le transitoire (le narrateur soi-même). Pour surligner ce contraste, l’auteur a personnifié la nature. Bien qu’on voie des aspects du romantisme, l’auteur a aussi fait un grand affront au style romantique – il a commit le délit d’enjambement. Au lieu de finir l’idée dans un seul vers, il a utilisé le troisième et le quatrième vers de chaque strophe pour exprimer une seule pensée. Pour le faire plus évident, il a aussi utilisé seulement six syllabes dans ces vers et il les a indenté.
Suivant les idées dans le poème on peut le séparer en trois parties. La première partie (1ère à 5ème strophe) décrit le narrateur qui se souvient d’une femme bien aimée en parlant au lac. On le voit « seul [s]’asseoir sur [une] pierre » dans la manière typique des narrateurs romantique (il est seul et plus haut que « les autres »). De plus, le narrateur personnifie le lac parce que le lac « mugissait » et a vu la femme adorée. C’est comme un ami qui partage les sentiments d’auteur et à cause de cela, le narrateur s’adresse au lac : « Ô lac ! » (« apostrophe »). Ensuite, on voit la deuxième partie quand « la voix qui [l]’est chère » parle. L’enjambement ici est plus évident parce qu’il y a seulement deux pensées pour chaque strophe. Au lieu du lac, le temps est personnifié – pas comme un compagnon, mais comme un adversaire qui nous « ravisse » de « ces extases sublimes ». De plus, il y a une distinction entre les personnes heureuses (comme le narrateur) qui veulent arrêter la fuite du temps et les « malheureux ici-bas » qui lui implorent au temps : « Couler, coulez ». Après d’avoir exprimé son incapacité d’arrêter le temps, le narrateur fait contraste avec le lac (et toute la nature autour du lac) que « le temps épargne ou qu’il peut rajeunir » dans la troisième partie du poème. La technique predominant est l’« Imagery » visual (e.g. « l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface / De ses molles clartés ! »), auditoire (e.g. « le vent qui gémit, le roseau qui soupire », et « olfactory » (e.g. « les parfumes légers de ton air embaumé ». Ces images assurent le lecteur de la splendeur et la beauté de la nature et le convainquent que c’est le seul moyenne de garder le souvienne d’un amour.
En somme, ce poème romantique appelle au cœur du lecteur et réveille des sentiments idéaliste (comme un poème romantique doit faire). Mais ce que le rende plus effective, ces sont les images de la nature éternelle et toujours belle qui font contraste avec la vie humaine éphémère.