Plus tard dans ses « Tableaux Parisiens », il nous offre un portrait de la grande ville, pleine de dangers et de tentations, Paris comme un paradis et un enfer. Les quatre premiers poèmes ont en commun le sujet de l'exil, l'exclusion de ceux-là non agréables à la société parisienne. Le Sept vieillards, Les Petites vieilles, et les Aveugles, son les
exclues de la société, les pauvres et handicapés. Il les regarde et exprime sa tragédie, pour lui ils représentent le terreur, ils sont « ridicules », ténébreux. Le symbolisme des poèmes a un double sens. D'une part ils représentent l'exile de la société moderne à ceux-là qui ne sont pas productifs. D'autre part les sept vieillards décrits comme "Ces sept monstres hideux", se réfèrent aux sept péchés capitaux qui sont mentionnés dans le premier poème du livre "Au lecteur" comparés avec sept types de reptiles.
Dans Les Aveugles, quand ils tournent leur visage au ciel, on ne peut pas de éviter penser à une allusion à la désespérance qu’ils éprouvent. Cette expression est aussi, la expression des doutes du même auteur, à la religion. Pour le auteur, les aveugles sont pitoyables mais au même temps ils l’irritent. Dans le poème, les seuls aveugles, ne sont pas ceux-là du poème… il parle aussi des parisiennes qui marchent sans voir les choses autour de eux- mêmes.
Dans le chapitre de « Les Fleurs du Mal », l’auteur parle de un « musée de l’amour perverti ». Les poèmes ici, sont une sorte d’étude les principaux formes de perversion sexuelle de l’époque : l’homosexualité, le sadisme, la prostitution, et le lesbisme. Pour Baudelaire, la perversion sexuelle, est un symbole de révolte en contre du monde bourgeois. Pas seulement une révolte contre des institutions bourgeoises, mais aussi contre la philosophie de la vie bourgeoise. Le auteur évidement, est de cote de la révolte, mais il trouve bien difficile s’échapper du sentiment de culpabilité, il se sent complice de la destruction de l'être humain comme conséquence de ses excès.
Le dernier chapitre du livre est destiné à parler de la mort. La mort comme un ultime moyen de résoudre la contradiction du Bien et du Mal. La mort est alors observée non comme un fin mais comme un passage vers dans un monde nouveau, mais inconnu.
Ensuite nous parlerons de mon poème favori de la section : « La Mort des Amants ». Dans ce poème, l'auteur nous offre une image ou la sensualité est évidente. On peut « sentir » les odeurs, voir les couleurs, et on peut dire que tout suggère une mort heureuse après l’extase de l’union physique. Le auteur aussi, nous parle de la mort comme un ultime union des amants. Dans ce poème, l'auteur nous présente l'idéalisation de l'amour et la mort, du point de vue romantique. L’atmosphère de ce poème est une invitation au voyage, comme si la mort n’était que calme, privilège, volupté.
Il est important de mentionner que la mort n'est jamais mentionnée dans le poème, ni non plus personnifiée, comme dans beaucoup des poèmes de l'auteur.
On peut faire aussi une analyse des adjectifs avec lesquels l'auteur qualifie la mort. Quand l'auteur parle de: « Un soir fait de rose et de bleu mystique » nous devons conclure que ces couleurs représentent couleurs tendres, que de mon avis, ils représentent le bonheur, la tendresse du dernière rêve. Ensuite quand l'auteur fait référence à : « Comme un long sanglot, tout charge d’adieux » l'auteur parle du dernier soupir (qui est la mort), des pleurs en rapport la mort et le duel. Plus tard quand il parle d’un Ange qui ouvre las portes, on peut penser à la résurrection de l’âme. L’auteur a l’espoir de que cette transition permet atteindre l’idéal, où les amants sont une seule entité, où est impossible distinguer chaque individu, ils sont indissociables.
BIBLIOGRAPHIE
Baudelaire, Charles. “Les Fleurs du Mal”, France (1867)
Turnell, Martin. « Baudelaire, a study of his Poetry », Anglaterre (1954), 337p.
F. W. J Hemmings, “Baudelaire the damned: A biography”, (1982)