The Stranger - Albert Camus. Jai lu le passage attentivement. Le titre est Au tribunal, le procs, alors en lisant a et en sachant le contexte du roman, on peut dire quil est au tribunal pour le meurtre de larabe.

8.        Introduction : Analyse du titre, Au tribunal, le procès. Situation du passage, le passage est situé dans la seconde partie du livre, au chapitre 3, de la page 129-131, dans l’édition de Folio. Résumé bref du passage si possible. Déclarer l’impression globale et le thème principal du texte et expliquer spécifiquement.

        Développement : a) Argument de l’étrangeté de Meursault. Présenté mes oppositions secondaires et mon opposition principal avec explication de leurs significations. b) Présenté le mouvement général du texte, le sens du paragraphe,  et les procédés d’écriture. c) Présenté le : Que voit-on? Qui voit et comment? Et le noyau du texte.

Conclusion : Récapituler le commentaire. Parler de la société autour de Meursault.

Le titre de cet extrait est Au tribunal, le procès. Le passage est situé dans la seconde partie du livre, au chapitre 3, de la page 129-131, dans l’édition de Folio. Le passage parle de Meursault qui va au tribunal pour son meurtre de l’arabe. L’impression globale de cet extrait est que Meursault est mis dans une situation très sérieux, mais avec la manque d’exposition à la société, il réagi de façon très bizarre, alors il est hors de sa zone de confort, il est mis-hors-jeu. Il ne sait pas comment réagir, parce que juste comme la mort de sa mère, il ne trouve pas que c’est un grand problème. Le thème majeur est le sentiment de l’étrangeté de Meursault face à la société, et à l’exposition du monde en dehors de son appartement.

Ici on parle de l’étrangeté de Meursault et juste Meursault en train d’être Meursault. Les oppositions secondaires le plus importantes que j’ai trouvé sont : La justice (sérieux) vs. La comédie (ou le théâtre) et Le soucie de Meursault vs. L’importance du cas. On peut voir qu’à l’entrée de Meursault, c’est juste comme quand on lève les rideaux à une pièce de théâtre. Toute l’attention, tous les yeux ont changé pour regarder à lui, Ligne 3 – « tout le monde se pressait pour me voir ». On peut voir aussi que c’est de la comédie à cause du Journaliste qui accueil Meursault, il est trop généreux pour une situation si intense. On peut voir aussi qu’à l’entrée de Meursault, il ne soucie pas trop à ce qu’il a fait, parce que au lieu d’être nerveux ou d’avoir peur, la première chose qu’il fait lors de son entrée est de regarder par tout et de décrire de divers choses, comme Ligne 1-2 – « J’étais un peu étourdi aussi par tout ce monde dans cette salle close. J’ai regardé encore le prétoire et je n’ai distingué aucun visage.» Aussi on sait la sévérité de cette situation, personne devrait tuer une autre personne, on devrait vivre en harmonie. Ligne 15-17 – « L’été c’est la saison creuse pour les journaux. Et il n’y avait que votre histoire et celle du parricide qui vaillent quelque chose. » Alors ça nous montre que l’histoire de Meursault et aussi intense qu’une histoire de parricide. L’opposition principale est Meursault vs. Le tribunal (le juge), ici  c’est le classique d’héros vs. Antihéros. Mais dans le contexte du roman, dans ce procès, Meursault est le héros, tout l’histoire, tout le drame tourne autour de lui, Ligne 3 – « tout le monde se pressait pour me voir », et le tribunal est l’antihéros parce qu’il est contre l’héros mais aussi ils se nourrissent du malheur de Meursault. Dans le contexte dans un procès sans prendre le roman en facteur, Meursault est actuellement l’antihéros, parce qu’il a commet un crime. Vers la troisième partie du texte, Ligne 13-19, on voit que le journaliste se  bénéfice, et exploite Meursault, et essaie de le faire peur en introduisant le bonhomme qui ressemblait à une belette engraissée.

Ici on argumente le sinistralité de la société et la fausse générosité pour truquer Meursault pour le faire parler. Le mouvement du texte est très lentement gradué, ça va de calme à agité. Ça commence relativement calme avec la surprise et la confusion de Meursault quand il se trouve au procès, Ligne 1 – « J’étais un peu étourdi aussi par tout ce monde dans cette salle close. », qui passe au drame irréaliste du procès, qui nous amène à la sinistralité de la société. Alors les éléments s’intensifient. Le paragraphe peut est divisé en trois parties, Ligne 1-5, Ligne 5-13, Ligne 13-19. La première partie est plutôt calme, ça introduit Meursault et nous à la situation du procès. La deuxième partie commence a intensifié, il commence à communiquer avec des gens là, et ils sont très généreux en vers lui parce qu’il démontre la fausse générosité pour se moquer de son malheur. La troisième partie est le point le plus haut, où le journaliste lui dit des choses comme, comment sont histoire et à la même valeur qu’une histoire de parricide, et comment un bonhomme qui a été envoyé de Paris, juste pour lui faire peur pour s’amuser. La fausse générosité et des métaphores, par exemple, Ligne 19 – « Belette engraissée », ce petit bonhomme est juste quelqu’un de petit qui est comme un serpent qui peut être un traître ou très sinistre. Aussi avec tout les exemples de la fausse générosité avec le journaliste, juste pour son bénéfice à lui-même.

La naïveté de Meursault joue un très grand facteur de comment il perçoit le monde. Les choses qu’on voit sont très différents de ceux de Meursault, il ne voit pas que le journaliste est méchant, mais on le voit, car on voit comment gentiment il décrit le journaliste qui l’approche. Mais on voit que le journaliste est simplement venu pour recueillir des histoires pour lui-même. Ce que Meursault voit, est vu d’une façon très naïve car il ne se rend pas contre que les autres gens ici sont juste ici pour leurs bénéfices et prennent avantages de son  malheur. Il ne voit pas la gravité de ce qu’il a fait. Aussi face à cette étrangeté il n’évoque pas les mêmes émotions qu’une personne normale évoquera. Le noyau est la sinistralité et l’hypocrisie de la société en vers Meursault ou en vers une personne en position plus vulnérable

Pour récapituler ce commentaire, on voit que Meursault est toujours étranger quel que soit. À causes de ces différences, les gens de la société prennent avantage et exploitent son malheur pour eux-mêmes, ce qui nous démontre la vraie sinistralité de cette société