Au Chien qui fume (ligne 4 à 7)
On peut voir ici que Breton s=exprime d=utiliser les mots qui paraient n=avoir ni de sens ni de raison. Il compare ses rêves à un flacon de sels qu=il utilise pour respirer la marraine de Dieu. On peut imaginer qu=il parle du sel de la terre, de la vie, et que la marraine de Dieu représente l=univers ou peut-être l=inconscient. De plus, il souligne que le surréalisme est marqué d=une base sur une croyance dans les pouvoirs de l=homme (Berg 469) et aussi l=idée que le surréalisme refus d=accepter les idées traditionnelles de la religion. Il faut ajouter à cela que le poème illustre bien le plan de l=image de la poésie surréaliste - l=inversion de figures et d=images conventionnelles (Berg 473). On peut le voir notamment quand Breton dit que, <<Ou de la courbe blanche sur fond noir que nous appelons pensée/ Le bal des innocents battait son plein/ Les lampions prenaient feu lentement dans les marronniers>> (lignes 11 à 13).
Ce qui vaut pour l=écriture semi-automatique ici s=applique également aux une autre forme surréaliste - la recherche de rencontres surprenantes et de formes incongrues. Breton écrit des signes quotidiens dans une manière énigmatique. Berg écrit que, <<pour Breton, la vie doit être déchiffrée comme un cryptogramme>> (470). L=idée d=exprimer <<les torpeurs se déployaient comme la buée/ Au Chien qui fume>> illustre qu=il utilise les images quotidiennes de décrire ses pensées. Au Chien est un nom typique pour un restaurant des Halles - quelque chose qu=il souvient et que paraître dans son inconscience. Quand Breton dit que <<les torpeurs se déployaient>> il laisse supposer que Breton, comme les autres surréalistes, n=a pas l=intention de reposer (physiquement ou mentalement). C=est la déformation d=objets quotidiens que Breton utilise de créer un monde surréel.
Il existe dans Tournesol un <<jeu de mots>> aussi. Breton prit les mots ordinaires et il utilise la puissance du surréalisme de créer les images très forte dans un contexte obscur. Breton attire notre attention sur le plan du langage quand il écrit, <<Où venaient d=entrer le pour et le contre>> (ligne 8) et <<Mais personne ne l=habitait encore à cause des survenants/ Des survenants qu=on sait plus dévoués que les revenants>> (lignes 22 à 23). Le mot <<survenant>> n=existe pas, mais on peut voir qu=il compare l=idée du mot survenir au sens du mot <<revenants. >> Les deux ont le même sens quand on pense à quelque chose qui paraître surprenant. En outre, l=idée d=entrer le pour et le contre est significative parce qu=on se trouve dans une position opposée. Un autre exemple du jeu de mots est quand Breton dit que:
Les promesses des nuits étaient enfin tenues
Les pigeons voyageurs les baisers de secours
Se joignaient aux seins de la belle inconnue
Dardés sous le crêpe des significations parfaites (lignes 16 à 19)
Le mélange des mots peut être interprété dans plusieurs façons. Je pense qu=il dit que la nuit tien un nombre des secrets, mais le plus bel aspect est qu=ils sont inconnus. Les promesses vide, les expectations - tels sont jeter dans la nuit par les gens qui veut explore la nuit comme Breton. Tout existe ensemble dans la nuit, et il est composé d=une intangible énergie, mais une énergie qui peut sentir. Il convient aussi de se pencher sur le fait que Breton refuse d=utiliser la ponctuation.
Tournesol, ainsi, démontre que Breton a une identité personnelle avec le mouvement surréaliste. Ses déambulations traverse Paris lui permettre tirer les idées et les images qu=il a eu besoin d=écrire ses oeuvres surréalistes. Bien qu=il ne soit pas si absurde que Tzara, par exemple, il reste un des meilleurs auteurs du mouvement par ses images nouvelles et un thème lyrique.
Comparée à Breton, Tristan Tzara est l=auteur qui est plus anarchique et qui refusé faire attention aux tous les règles traditionnelles. Il est indéniablement qu=il a contribué fortement au commencement du surréalisme avec ses oeuvres de Dada. Chanson Dada illustre bien tout les règles base du surréalisme que Breton a appris et qu=il a utilisé plus tard. Tzara abandonné tout les règles de la ponctuation et il a dérangé le sens des mots qu=il a utilisé de créer un monde absurde mais plein de couleur.
Le principe de la provocation est évident dans ce poème. Tzara essaie nous choquer avec ses bizarres forme des phrases et une formation des mots que créer un sens plus bizarre. Le premier exemple dans le poème est quand Tzara dit que:
l=ascenseur portait un roi
lourd fragile autonome
il coupa son grand bras droit
l=envoya au pape à rome (lignes 5 à 8)
On peut voir que les mots font scandale - un message contre un public bourgeois. Il perturbe le confort moral et les certitudes (Berg 466). Tzara écrit aussi une message contre le monde politique et l=église - typique de la poésie surréaliste. Il s=exprime, cependant, dans une manière absurde et choquant.
Chanson Dada est peut être le meilleur exemple du jeu sur le langage. Le poème entier est composé des mots dérangés et paraissant sans sens. Il y a un refrain qu=illustre ca règle: mangez du chocolat
lavez votre cerveau
dada
dada
buvez de l=eau (lignes 12 à 16)
Chaque refrain Tzara change l=ordre des mots de créer une différent sens. La chanson dada explore les caractéristiques d=un dadaïste, ou ce qui compose le coeur d=un dadaïste. Je pense que le fait que le poème soit écrit dans une forme surréaliste illustre ce qu=on doit faire pour devenir un <<dadaïste. >> On interpréta le poème dans une manière différent d=une autre personne, mais un vrai dadaïste comprendra que c=est l=objet d=un poème dada. Il faut que toujours poser les questions et pense contre la raison. <<Mangez du chocolat/ lavez votre cerveau>> - c=est notre responsabilité de refuser les idées traditionnelles et créer nos idées uniques.
Pour ce qui est des images, ils sont, eux aussi, remarquablement vivants et bizarres. On les note dans plusieurs instances: <<et aimait une bicycliste, >> (ligne 19) <<mais l=époux le jour de l=an, >> (ligne 21) et <<un serpent portait des gants>> (ligne 37). Tout est un parfait exemple d=images extraordinaires qu=invoque un sens du surréalisme. Tzara mentionne les mots qui signifient l=église (pape, vatican, serpent), la guerre (soldat, coupa son grand bras droit), et les pensées (cerveaux, coeur). Tous les images sont présenter dans une manière dérangée et abstrait. Je pense qu=on peut voir les images qu=il utilise dans une autre manière aussi.
Il est clair que Tzara voit l=humour dans ses poésies. Cependant, c=est l=humour noir. Quand il parle d=église et l=idée d=envoyer un bras droit au pape à Rome, il envoie un message contre l=absurdité du monde. Berg dit à page 471 que, <<le surréalisme continue de partager certaines attitudes Dada, notamment le sens de la provocation et le dégoût pour toutes les conventions esthétiques et sociales, qui se traduisent par un antimilitarisme, un antipsychiatrisme et un aticléricalisme virulents. >> Il est évident dans Chanson Dada que l=atteinte était accomplie. Quelles conclusions tirer de cette analyse? On peut avancer que malgré les différences entre les deux poèmes, les deux sont composé de tout les <<règles>> surréalistes. Les deux permet de penser qu=il y a bonnes raisons de pense contre la raison et la logique, et qu=il existe dans le monde plus qu=on peut voir. Il est peu probable que tout le monde ait la même interprétation de chaque poème, mais comme j=ai déjà dit, ça, c=est pourquoi la poésie surréaliste est si intéressant - on peut tirer une opinion unique parce que le poème le permet. Breton et Tzara, dans leur manière individuelle, ont crée les oeuvres que nous force de penser.
