Au bout du salon dans la salle à manger, j’entends la musique venant du piano où une belle jeune femme joue: c’est mon amie Annie, elle sourit et autour d’elle sont posés sur des étagères des centaines de livres jaunis par le temps. Je regrette qu’il n’y ait pas de bibliothèque: une pièce servant uniquement aux livres.
Je marche jusqu’à la petite cuisine et là, je vois l’évier avec ses robinets d’eau chaude et d’eau froide et une cuisinière à gaz avec un four. Les placards sont <<pleins à craquer>> de provisions. Je m’arrête et prends une canette de coca cola dans le frigo pour me désaltérer.
Je monte un très joli escalier en colimaçon sur ma gauche qui me conduit au premier étage: ma chambre, la chambre de Rossy, la chambre de ma mère, la salle de bains et le grenier composent l’arrangement de l’étage.
Ma chambre est “normale”, elle est remplie de belles choses inutiles, par exemple des souvenirs de vacances. De plus elle s’etend sur un balcon sur lequel je m’avance: de là, la vue panoramique sur les autres maisons et industries qui descendent sur la colline.
Je pense que la vie est difficile en regardant la complexité du paysage. Je baisse les yeux sur le jardin: à mon avis, les plantes sont bien plus belles en hiver parce qu’elles démontrent la vulnérabilité de la nature.
Sophia Smith
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