« Raconte-moi New York » L’éternelle, la perpétuelle, l’illimité cité, n’a pour borne et limite que l’infinité. Le ciel à l’horizon nous est caché par les façades des grattes-ciels, qui comme des falaises, bordent des lignes harmonieuses se
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prolongent de manière continuée. Ce n’est qu’après avoir véritablement dressé la tête, qu’il se dévoile là, le gardien de cette contrée. New York ne se trouve jamais dans l’état de sommeil, car de nuit, elle s’illumine comme si elle s’était converti, déguisé, mué ou métamorphosé en un miroir, qui reflete des milliers d’étoiles d’un ciel Perseid. Manhattan est renommé pour ces nombreuse fantaisies, dont Central park, l’amas  formant un tapis de verdure dans lequel l’on s’y délassé de jours, et s’y sens menassé de nuit. C’est en déambulant que l’on n’y découvre ses clichés les plus surprenants, comme l’obstination pour ...

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