Salvus: un text narratif s'assimilant au style voltairien dans "Candide"

nome Arslan ». Le Turkménistan, pays ou l’absurdité fut une politique d’état, laissa comprendre à Salvus la loufoquerie de leur collision. « Puis-je vous questionner sur la cause de votre désarroi ?» quémanda Salvus. «Le Turkménistan a souleur devant notre gouvernant Saparmourat Niazov. Seulement après la dernière plébiscite, il fut nommé président a vie sans aucune candidature d’opposition  ». « Es la cause de vos pas si pressés ?» questionna à nouveau Salvus. « Je m’esbigne car le Turkménistan s’assimile à l’enfer, une fois pied posé, il est impossible, même interdit d’en sortir. En effet, s’il fut toléré de migrer, notre pays cadenassé à triple tour, ferait une hémorragie d’individus fuyants la diarrhée verbal de Niazov ; qui se fait appeler Turkmenbachi ‘père de tous les Turkmènes’; nous servant de dictateur ». Arslan exposait à Salvus la dictature à la quel sont pays était soumis. Pas un jour sans que ne germe, dans son cerveau, une nouvelle idée. Un de ces récents projets consistait à la construction en plein désert du Karakoum, parmi les plus arides du monde, d’un zoo accueillant naturellement tout aussi bien les animaux du Nord. Cependant Niazov ne se contentai pas uniquement d’être roi de la steppe et des cheptels mais aussi du ‘manat’. Doté de perspicacité et d’un tel intellect, l’autocrate des richesse, conscient de la non durabilité des réserves de gaz et de pétroles, (classées troisième du monde) n’alimentent point le trésor public mais un ‘fond présidentiel’. La prospérité du pays fut donc indubitable, maintenant ‘les jours de pluies’ épars. Certes, ce ne fut tous les jours Dimanche, particulièrement dans un pays ou les noms des jours et des mois changes aussi aisément. Le Turkmenbachi, omnipotent des individus également, fit embargo du téléviseur satellite et astreint son peuple à glorifier ‘Roukhmana’, son livre possède à la fois un statut de Coran et de code pénal. Les écoles chantent, dansent, récoltent du coton et étudient Roukhmana. « Niazov est le plus égocentriste dans le monde le plus égocentrique qu’il soit. Faire de la fête nationale son anniversaire, c’est autolâtre. Faire des artère et des mois un arbres généalogique, c’est autolâtre. Mettre son effigie au coin des programmes télévisés, sur les emballages alimentaires ou sur la monnaie, c’est autolâtre. » Salvus répondit « AH ! Il fait vibré la terre se Niazov, c’est bien pour cela que c’est la région la plus sismique du monde ».  Ainsi les deux hommes donc la culture les séparent, continuèrent leur chemin dans les forêt de l’Afghanistan, ou silence fut rompu et secrets furent échangés.