ORAL SUR LA MATERNITE

Ma, Mother, Madre, Maman…Le cris d’un enfant a sa mère. La maternité, l’une des forces les plus incompréhensibles de la nature humaine, l’une des forces les plus fortes aussi…

Buenos Dias,

Mon oral sera sur le thème de la maternité, dans les romain “moi Tituba sorcière” de Maryse Conde et “Le Balle du dodo” de Géneviève Dormann.  Dans cet oral, j’analyserai les différents aspects de la maternité. J’aborderais tout d’abords les sentiments d’une mère envers ses enfants. En alternant entre les deux livres. Et pour finir je parlerais de la maternité adoptive dans ces deux romains.

Commençons Par LES SENTIMENTS

Tous d’abord dans moi tituba sorcière de Maryse Conde, nous avons Abena et Tituba, ou nous voyons, au début des relations une manque de sentiments de la part d’Abena envers sa fille, la citation a la page 18 : « Quand découvris je que ma mère ne m’aimait pas ? » démontre ce manque de sentiments.  Pourquoi cette manque d’affection ? Abena fut viole est de ce viole Tituba naquit, et au tous début de cette relations entre mère et fille, nous voyons qu’Abena n’a pas oublié le tourment quelle a endure avec ce marin blanc, je cite a la page 18 «  Je lui rappelais a tout instant sa douleur et son humiliation. ».  L’énumération, encore a la page 18 nous montre ce manque d’affections qu’a endure tituba au tous début de sa vie « Aussi quand je blottissais passionnément contre elle comme aiment a le faire les enfants, elle me repoussait inévitablement. Quand je nouais les bras autour de son cou, elle se hâtait de se dégager » Mais comme toujours la maternité change tous les femmes ; Page 19« La maternité et surtout l’amour de Yao avaient transforme ma mère »…mais ce bonheur fut de courte durais, Abena fut pendu…La répétitions a la page 20-21 « On pendit ma mère » démontre le chagrin que tituba ressent a la perte de sa mère. Nous voyons, plus loin dans le livre, les vrai sentiments  d’Abena envers sa fille, à la page 52 « Vent et effronterie ! Ce negre n’est que vent et effronterie ! » Qui montre qu’elle ne veut pas que sa fille s’en voit en l’air avec John Indien. Ceci démontre qu’Abena a encore des sentiments profonds pour sa fille. Des sentiments non-existant au début mais qui, au fil du temps est devenu un attachement profond.

Prenons maintenant le texte du Bal du Dodo, de Géneviève Dormann. Une mère vit pour le bonheur de son enfant, mais ce n’est pas le cas de Thérèse De Canoet, qui s’oppose à l’amour de son fils, qui ne connait même pas son fils ! A la page 34 « Elle s’était mise à fouetter son fils de toutes ses forces, a l’aveuglette, l’ouil brillant, la mâchoire contracte… » Cette énumération nous démontre le manque de sentiments envers son fils. Il est vrai que’ elle expose son fils comme un innocent gamin qui n’a rien comprit de tous ceci, je cite a la page 35 « non contente d’avoir viole son innocent Vivian », mais état cela pour protéger son fils ou pour la protège elle-même ? Elle a aussi dénigre son fils en appelant l’ile entière et en les apprenant la nouvelle. Est qu’une mère fait cela ??? Est qu’une mère envoi son fils au fin fonde du monde, je cite page 125 « Tandis que Vivian apprenait a « devenir un homme » au collège Saint Charles de Pietermaritzburg, prés de Durban ». La page 196 nous démontre que Thérèse continue de tourmenter son fils, en l’envoyant hors de Maurice des qu’il y retourne « avaient invente d’expédier Vivian en France » Il ya aussi a la page 229, ou nous voyons Vivian qui discute avec sa mère, est la dernière qui ne le croit pas « Une blague vraiment ? Avait siffle Thérèse. Ah bon ! » Tous ceci montre une mère qui n’était pas fait pour être mère. Car nous voyons ce manque d’affection entre ses deux protagonistes.

Revenons a Moi, Tituba Sorcier, ou notre protagoniste Tituba, n’a jamais pu avoir d’enfant, c’est pour le bonheur de son enfant que Tituba la tue, je cite a la page 83 « La maternité n’est pas un bonheur. Elle revient à expulser dans un monde de servitude et d’abjection, un petit innocent dont il lui sera impossible de changer la destinée. » Donc nous pouvons dire que l’attachement entre une mère et son enfant commence au tous début de la relation, même avant que ce dernier ne soit mis au monde. A la page 89, nous avons un chapitre entier sur les sentiments de tituba envers son enfant perdu, qu’elle décrit comme « la pierre de l’une », l’exclamation « pauvre de moi » met en valeur sa souffrance de perds son enfant, comme la citation suivant « Je pleurais et me lamentais » qui montre sa tristesse. Nous revoyons ce chagrin de ne pas d’avoir d’enfant a la page 178, elle comme mère, qui a eu la force pour protège son enfant de se monde cruel, je cite « Enfant non nés. Enfants a qui, pour leur bien, nous avons refuse la lumières et gout sale du soleil ». A la page 179, nous avons la rencontre de tituba avec Dorcas, qui a perdu sa mère…et a se point nous voyons que tituba tombes en larmes et pris pour cette enfant, même si ces la mère de l’enfant qui l’avait accusée. « Désormais, ce fut Dorcas, l’enfant d’une femme qui m’avait si laidement accusée, que je chantais ma chanson familière. » Tout ceci démontre que les sentiments d’une mère débute avant même que l’enfant soit née.

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Regardons maintenant le cas de Françoise de Canoet, mère de sept enfants ! Sept enfants plus que Tituba !!!, Françoise de Canoet qui voulu toujours le bonheur de ses enfants, qui avec Loïc, elle s’empressait de lui trouver une fille parfait, je cite a la page 59, « Loïc avait tout de même fini par comprendre que cette fois, le piège se resserrait singulièrement. » qui montre comment la mère, voulant le bien du fils a piège se dernier en concluant son mariage avec Thérèse. Nous voyons aussi le chagrin d’une mère la page 65 ou Françoise était effraye de voir son fil préfère ...

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