Il n'y a pas d'etudes serieuses prouvant la nocivité du Cannabis. On a du mal a lui trouver des dangers sanitaires graves.Il passe les nausées et redonne l'appétit aux personnes en chimiotherapie. Il est en tout cas moins dangereux qui l'alcool et le tabac et n'engendre pas de dependance physique. Sa légalisation est une question de libertè et de responsibilité individuelles! Chaucun doit pouvoir choisir son produit pshychotrope. Pour certains c'est le sport pour d'autres le Cannabis.
La repression n'a fait que dynamiser la consommation de drogues et produire une économie parallele aux mains de la mafia. On est passé de huit cents arrestations pour usage ou commerce de Cannabis en 1997. La consommation et le commerce de Cannabis sont mis sur le même plan que ceux de l'heroine qui est une drogue très nocive et difficile à gérer. Cette confusion est très dangereuse, particulierement auprès des jeune qui sont de plus en plus nombreux à fumer du Cannabis.
La légalisation semble-t-elle la meilleure solution. Pourquoi? Parce que la simpe depenalisation de l'usage, comme vient recemment de l'etablir la Belgique, est une mesure hypocrite. Le crime organisé est toujours derrière. Le problème, aussi, c'est qu'il transforme n'importe quel petit toxicomane en dealer. Le CIRC demande la totale liberté de produire, d'utiliser et d'achèter.
Mais comment envisagerons-nous la vente libre du Cannabis? Nous prenons un "cannabistrot" qui serait un peu l'equivaent du Café Neerlandis, où on viendrait achèter et consommer. Une agence Francaise du Cannabis acheterait la production des particuliers et controlerait le serait, aussi du produit. Mais le "cannabistrot" et d'information sur toutes les drogues de l'estasy a l'alcool.
Cela c'est vrai, cependant, il ne faut pas oublier qu'il y a chaque année, en France 120 morts par surdos. Mais parlons des guerres: "Celle de 14-18 a fait 8 millions de morts, parmi lesquels 1,600, 000 jeunes Francais; cele de 19-45 a fait 40 millions de morts. Si on y inclut les victims des camps d'extermination nazis".(5) Ces chiffres comparé aux 120 toxicomanes donnent une idée de l'enflure verbale par laquelle on alarme l'opinion sur un sujet certes dramatique, mais à propos du quel l'intoxication psychologique celle-la, parait deplacée.
Si on légalisié le cannabis, aussi, c'est éncourager a en consommer des drogues dure; la légalisation du cannabis c'est l'augmentation du fumer passive.
Si, on regarde les chiffres, les consommateurs d'heroine et de cocaine, ils ont commencent avec Cannabis. Il est prouve que le Cannabis est une drogue qui crée des dependances; il contient un produit psyho-actif, le delta 9 tetrahydocannabinol (THC), en proportion de 1% a 6%. C'est un problème de santé très grave car l'augmentation en THC du Cannabis engendre des effets toxiques aigus et alarmants. (6)
Les autres effets néfastes du Cannabis sont bien connus:
- diminution de la performance physique
- augmentation de la fréquence cardiaque de repos, d'effort et pendant la recuperait la pression arterielle
- diminution du taux de testosterone
- chez la femme enceinte:effet teratogene
- chez l'epileptique seclenchement de crises malgré le traitement (7)
Les trafiquants maintiendraient le marché en cassant les prix mais en fourguant une marchandise de moins bonne qualité. Les trafiquant rechercheraient de nouvelles marches avec de nouveaux produits ou des drogues dures classiques, avec la complicite de dealers qui auraient a compenser le manque à gagner pour continuer à payer leur came. Il est clair que l'interdit a un cote stimulant et que legaliser l'usage du Cannabis inciterait a passer a autre chose, la Coke par exemple, que l'on ne peut pas classer dans les drogues vraiment pire que l'alcool.
Pour conclure on peut affimer que la liberté controlée du commerce des drogues est attirante. C'est l'experience que nous fasions aujourd'hui avec l'alcool et le tabac, deux drogues bien plus dangereuses si l'on en juge par la mortalité qu'elles induisent. Dans cette hypothese, la production de drogues sera libre et privée. Pour reduire la consommation excessive de drogues une taxation adequate pourrait être entreprise. On pourrait ,également, subventionner des recherches pour améliorer la qualité des drogues et inciter les laboratories pharmaceutiques à innover en la matière. Il est clair, cependant, qu'un marché libre de la drogue, même contrôlé, n'eliminera pas les effets extrêment negatifs engendres par cette consommation. La politique prohibitionniste se trompe de cible. Il ne s'agit pas de reduire a neant la consommation de drogues, il s'agit de minimiser les nuisances causées a autrui par cette consommation.