D’autre part il faut réfléchir à la deuxième face de la question de la libération sexuelle en France : la légèreté de mœurs, et le problème suivant des grossesses non désirées. Malheureusment, les grossesses non désirées sont souvent synonymes des familles monoparentales – c’est à dire les enfants qui n’ont qu’un seul parent, normalement la mère. Heureusement le total des familles monoparentales n’est pas tel grand en France que dans les autres pays européens. Il n’y avait que une famille sur huit (12,5 %) qui était monoparentale en France en 1997 alors qu’en Allemange il y avait 16 %, et 22 % des familles étaient monoparentales au Danemark pendant la même année. Cependant, bien qu’au premier abord les chiffres soient encourageantes, un autre problème se présente lorsequ’on analyse le taux des IVGs des mêmes pays. En 1993, le nombre relatif des IVGs en France était 27,2 alors qu’en Allemange il n’était que 13,7. C’est le fait que les Françaises favorisent l’avortement qui explique pourquoi on trouve plus des familles monoparentales en France qu’en Allemagne.
Alors, est-ce qu’il existe une raison pourquoi les Françaises choisissent plus des IVGs ? Il semble que le taux des avortements répresente un des prix que le pays doit payer pour sa libération sexuelle. Bien que le taux soit en diminution, les femmes ne sont pas dissuadées d’interrupter la grossesse grâce à le manque d’un stigmate social en ce qui concerne l’IVG. Un autre facteur est RU 486. La compagnie française, Roussel-Uclaf (RU), créa cette pilule dite «avortement» pendant les années quatre-vingt, et elle fut approuvée pour l’usage français général en 1988. La légalisation de cette pilule controversée était aidée par la liberation sexuelle en France. En outre, RU 486 lui-même aide le sens de libération dans la mésure où il facilite l’interruption des grossesses.
Il existera toujours les familles monoparentales mais cela dit, on n’a pas raison dire que les jeunes français n’utilisent pas les contraceptives. Aussi comme résultat de l’attitude libérale envers la conversation à propos des choses sexuelles, la contraception est un sujet bien discuté. En fait, 65% des jeunes s'informent des matières contraceptives par ses relations «interpersonnelles» – en d’autres termes, la majorité peut apprendre simplement par le bavardage. Mais la statistique rassurante que l'usage du préservatif lors des premiers rapports sexuels est 87% est aussi grâce à la politique du Ministre de l’Education Nationale, Jack Lang, qui a préconisé au minimum deux heures obligatoires de l’éducation sexuelle par semaine de la 6 ème à la 3 ème. Ainsi les réformes du système scolaire alliées à l’attitude envers la discussion franche des matières sexuelles sont responsable des impressionnants résultats obtenus par la France en ce qui concerne la contraception. En outre, ces deux facteurs provient de la libération sexuelle en France.
A part du taux haut des avortements, il semble que la liberté sexuelle française a un effet positif sur le bien-être de la société. Alors est-ce qu’il serait sensé d’élargir la liberté sexuelle ? Aujourd’hui il existe une campagne surtout qui l’a au premier rang – le débat à propos de la pilule de lendemain (c’est a dire la pilule puissamment dosée qu’on prend dans les trois jours qui suivent un rapport sexuel pour empêcher la nidation). La proposition est qu’il faut mettre un genre de pilule, comme Norlevo, à la disposition des pharmacies pour qu’on peut l’acquérir sans l’intervention du généraliste. Ainsi on ne doit pas perdre le temps du docteur et les jeunes Françaises ne doivent pas être soumis à son interrogatoire. Néanmoins la réforme aurait des conséquences épouvantables. Les rapports sexuels non protégés deviendraient plus courants parce que les garçons oublieraient les «capotes» en faveur de la pilule, parce qu’elle est la responsabilité de la femme et elle ne tripote pas les rapports eux-mêmes. Si la prédiction se réalise, les grossesses non désirées et les maladies sexuellement transmissibles (MSTs) résulteront – l'efficacité de la pilule est moins que ça d’un préservatif, et de plus elle n'a aucun effet en ce qui concerne la protection contre les MSTs.
Quelles conclusions tirer de ces faits en ce qui concernent la question de la liberté? Le taux des contractions du SIDA se stabilise grâce au programme bien-reçu d’éducation – et il en result que c’était bien-reçu à cause de la liberté sexuelle. Les jeunes Français savent plus de leurs voisins européens des contraceptifs et des autres matières sexuelles grâce à l’aisance de parler de ces sujets et il s’ensuit que les familles monoparentales sont moins nombreuses que dans les autres pays d’Europe – aussi parce qu’il existe un manque d’un stigmate social sexuel. Cependant, tout pousse à croire que le taux inquiétant des avortements est aussi grâce à cette libération et ça indique que l’attitude peut être trop libérale envers les choses sexuelles. A en juger par l’usage des drogues comme RU 486 et le mouvement envers la pilule de lendemain sans prescription, on est tenté de conclure que la liberté répresente une présence nuisable à la France. Pourtant les avantages de la libération sous forme de la compréhension et la liberté tres répandue xxx. En fin de compte, à condition qu’on reconnaisse qu’en dépit de toutes les procédures et les pilules il faut toujours avoir un sens personnel de la responsablité sexuelle et le gravité des rapports sexuelles, il semble que la libération sexuelle ne peut qu’être un attribut positif de la société française. 1183
Selon une étude de l'Institut de Veille Sanitaire
Selon le Centre Européen pour la Surveillance Epidémiologique du SIDA (CESES)
Elisabeth Bursaux (journaliste), Le Monde (www.lemonde.fr)
Chiffres selon Insee et Eurostat
Selon l’«United Nations Demographic Yearbook 1997». On a choisi 1993 parce qu’elle est l’anée la plus récente pour quelle des chiffres pour tous les deux pays sont fournies.
Le Sida Info Service (SIS) et la Sofres
Rapport éléctronique de Dr H. Raybaud et Dr Albert Ohayon (Gynécologue-Obstétricien)