Le problème le plus important, c’est ce que les catalans (naturels de la Catalogne), ne veulent pas diminuer l’importance du catalan, en faisant que l’utilisation du castillan soit plus populaire ; car pour eux, le catalan est l’attribut le plus essentiel, un élément fondamental de l’identité galicienne. Bien qu’ils aient fait des manifestations avec l’objectif de faire prendre conscience à propos de l’importance du catalan pour eux, la proclamation national essaye de mettre à disposition les deux langues (nationalisme linguistique), laquelle c’est une solution, pas très satisfaisant, mais réelle à nos jours.
L’importance de l’article est de valoriser les visions de la communication même si on parle d’un même pays. Si l’on prend comme une activité individuelle, les minorités que parlent le catalan peuvent utiliser la langue comme instrument, tandis que si on trouve la langue comme une activité sociale, où le code et les règles d’interaction appartiennent à une même culture, laquelle est, dans ce cas là, l’Espagne comme pays, et pas comme l’union des divers cultures qui ont seulement en commun l’espace géographie.
Aussi, on pourrait partir de l’importance des systèmes de production de masse d’un pays, ce qui donne des services, des biens ou des idées, lesquels doivent être apportés d’une manière claire, alors le problème d’avoir une chaîne de télévision en catalan, par exemple, dont tous les programmes donnés montrent des informations qui peuvent être compris pour ceux qui parlent le catalan.
Tout ce que les groupes qui parlent catalan veulent, ce que le gouvernement accepte l’égalité des droits linguistiques en Catalogne, mais ils veulent une égalité que fasse du catalan la seule langue officielle dans la région, proposition que les organisations politiques et le gouvernement espagnol ne peuvent pas permettre, car il existe d’autres régions où il y a une autre langue à part du castillan, et même si elles se trouvent avec des conflits à propos du langue certifiée, elles peuvent vivre avec l’emploi du castillan pour les affaires officielles.
En outre le catalan, il est moins connu par les générations actuelles (n’importe si les jeunes sont nés dans cette région) ; c’est pour cela que les défenseurs du langue veulent implémenter le catalan comme unique langue dans les écoles, et donner aux jeunes l’éducation de la défense de leur culture. Les enquêtes montrent que la plus part d’habitants à Barcelone (capitale de la Catalogne), reconnaissent le castillan et le catalan comme langues propres du territoire.
Pendant la période post-franquiste, la vision du catalan était d’un élément fondamental du nationalisme, c’était le principe d’identification le plus important. Maintenant qu’on se trouve dans une situation de transition vers le bilinguisme, les acteurs qui sont pour le catalan, ils argumentent qu’il serait nécessaire d’augmenter la pratique du catalan pour le maintenir, car il est dans une étape de faiblesse.
Le point de vue que ces acteurs ont du catalan, quand ils parlent du catalan comme un signe indispensable de leur identité, c’est un peu débile et absurde, car ils peuvent bien parler leur langue en conservant le castillan comme langue d’affaires gouvernementales. Ainsi, ils démontrent uniquement la peur contre l’absorption d’autres groupes culturels, et la nécessité de garantir leur individualité.
Mais, le nationalisme qui est exhibé en Catalogne, ne laisse pas lieu aux conversations avec le gouvernement pour trouver la solution la plus viable que ne nuisse pas les buts des deux parts.
Finalement, il est important de dire que la polémique suscitée par cette proposition, elle peut s’encadrer dans divers branches de recherches, en ce cas là, la communication joue un rôle important, dû à l’influence communicative qu’il doit y avoir. Néanmoins, il est impératif de trouver des solutions où la langue ne soit pas pris comme un objet, mais comme le systèmes des signes qui se déroule au contact avec des groupes, lesquels ils le parlent.