Chapitre 1
Mon Expérience
Quand j’étudias en France, il y a eu beaucoup de grèves. Par exemple la poste de nuit était en grève pour trois mois ! J’ai envoyé dix lettres à Ecosse a septembre, et ils sont arrivés deux mois plus tard.
C’ était très différent ! Spécialement quand il y a eu une grève nationale. En France, quand il y a une grève nationale, tous les services publics arrêtent. Les trains, les bus, même les universités (sauf mon université, malheureusement !)
Il est très difficulté à voyager en France pendent en grève. Environ 10% de bus fonctionne, et moins de trains.
Et au moins une fois de mois, il y a eu un barrage routier devant l’ hôtel de ville. Apres un jour dure à l’ université, c’ était très ennuie !
Mais, la situation était normale. Vers deux ou trois fois une mois, j’ai vu une procession devant l’ hôtel de ville. Ou à Rouen, ou à Mont St Aignan.
Chapitre 2L’ histoire et les droits
L’ histoire
Depuis la grande révolution de 1789, les français tournaient contre les gouvernements à plusieurs occasions. Ils étaient en liberté pour exprimer leur sensibles de colère. Il y a eu une grande grève à Roubaix après la révolution. La grève est très important, parce que il n’avait pas sous-entendus politiques. Les droits étaient différents : les travailleurs ne permettaient pas la convention ou les actions collectif. Mais, après l’ émeute de Roubaix, la situation a changé.
À peu près 140 années plus tard, les plus grand sommes des grèves : les grèves de mai et juin 1968. Les événements ? L’ usine Renault, a Cléon, près d’ Elbeuf. Presque à moitié des travailleurs avaient un jour grève contre le gouvernement la 13ème mai. La grève a durée pour plus de un mois, jusqu'à 17ème juin. La grève était différente aussi. Avant la grève, il était extraordinaire pour les travailleurs prendre le pouvoir les magasins, les bureaux et les usines.
Depuis 1830, en France, Il y avait environ 160,000 grèves indépendant. La majorité était après la deuxième guerre mondiale.
Le droit.
En France, il y a beaucoup de droits des travailleurs.
1. Constitution de la 5ème République
2. Le Code du Travail
3. Coventions et Accords Collectifs
4. Jurisprudence
5. Règlement Intérieur
6. Contrat de Travail
7. Usages
Le Constitution de la 5ème République ; le droit de la grève sous le règlement. Le Code du travail est une addition ave les droits du travail.
En France, l’ action revendicative a trois partis : le travail, la direction et l’ état.
Au début de la dix-neuvième siècle, les associations et les grèves étaient illégales. «La loi de Le Chapelier, 1791 » Les travailleurs étaient interdit rencontrer avec les uns les autres.
Entre 12-22 avril 1803 la loi changeait un peu, mais seulement en ce qui concerne les revendications. C’ était la même jusqu'à 1864. Entre 1865 et 1884 les travailleurs français gagnaient le droit pour former une union, et le droit pour la grève. Mais, pour les fonctionnaires, la situation était différente. Pour les fonctionnaires, ils gagnaient le droit pour la grève a 7ème juillet 1950.
Avant 1892, il n’était pas les procédures légales pour les négociations entre les employeurs et les grévistes. Les deux parties faisaient pourparlers de paix entre eux- mêmes. En 1892, la Chambre faisait une « loi sur la conciliation et l’arbitrage en matière de différends collectifs entre patrons et ouvriers ou employés. » Un conflit entre les travailleurs indépendants, et les employeurs est allé en avant un conseil de prud’ hommes.
Chapitre 3
L’ avis de Grande Bretagne
Tous les pays sont différents. En Grande Bretagne, les grèves françaises sont très impopulaires, parce que les inconvénients, comme les manifestations avec les grèves. A son avis, quand les gens française avaient une grève, elle est pour un petit problème.
Deux fois, trois fois pendant l’ année, la presse de Grande Bretagne vont à Calais, les bassins, ou à la autoroute près de Paris, pour faire un reportage sur les grèves. Les vacanciers qui restant sur la autoroute parce ce il y un grand embouteillage. A Londres, les grèves sont la première page parce que l’ importance des grèves. Mais, en France, la même situation jusqu’à quelques paragraphes dans les pages économiques. Pour les Britanniques, c’ est très bizarre.
Mais, peut être les Britanniques sont jaloux de la français ? Ca dépends.Le gouvernement français donne les grévistes les conditions la majorité du temps. Les Britanniques sont apathiques, mais, en France, on a tendance à se mettre en colère très vite !
Bon ou mauvais ?
Il y a deux effets pour les Britanniques. La première, France a beaucoup de industries, comme la pêche, qui sont grands dans le monde. Cependant, en Grande Bretagne, la situation est différent. Beaucoup d’industries sont souffrissent tous les temps. Quand les travailleurs français font ravages, le gouvernement écoute.
L’ avis des gens français
Naturellement, les gens français avaient une différence d’avis. Mais, il y a beaucoup de ressemblances aussi.
Par exemple, les enfants français ? C’ est bon quand les profs font la grève ! Comme ça, on ne va pas à l’ école ! L’ avis est la même pour les enfants britannique !
Mais, dans tous sérieux, les français, en généralement, sont bien disposé envers les grévistes.
« Si moi je faisais ce boulot, je ferais grève aussi. »
En France, 62% de la population supportent les actions des grévistes. 30% sont contre les grévistes
L’ avis de la français est la grève est un droit démocratique mais jusqu’à un certain point. Mais ne pas toujours. La démocratie, c’ est aussi de ne pas faire du mal aux autres. Le droit de grève peut aller trop loin. Parfois, il y a abus.
En France, c’ est normal pour les travailleurs faisant connaître leurs griefs. Ils supportant les inconvénients parce que les protestations sont une forme de vie.
Les différences culturelles
Oui, mais les français sont différent des autres cultures européennes. En France il y a une 35 heure semaine pour travaille.
Le chômage et la grève
Cette année, à avril, le chômage en France avancement de 7000, jusqu'à concurrence de 212,000. Quand il y a beaucoup de chômage, les gens sont très malheureux, et ils voulant une grève.
Point de repère :
Strikes in France 1830-1968, Edward Shorter and Charles Tilly- Cambridge university press
La source: Strikes in France 1830-1968 pg24