L’Introduction

Qu’est-ce qui arrive dans sa tête lorsqu’on pense de Paris ? La tour Eiffel, les Champs d’Elysée, les boulevards bordés de musées et des galeries d’art ? La capitale de la République de France a toujours gardé sa réputation d’être le centre de création mondial. Après avoir y vécu et travaillé toute l’année, je me suis rendue compte que la présence des peintres dans ces galeries-ci et à Paris en général, n’est pas visible. Dans sa place est une communauté importante des artistes étrangers. Dans mon travail quotidien, je m’occupais de la promotion de la culture, soit la musique, soit l’art, soit le journalisme, souvent tous en même temps et j’ai rencontré nombreux jeunes artistes. Bien que quelques entre eux aient été français, la plupart venaient de la

Chine ou de l’Europe de l’est.

Les arts à Paris sont d’autant plus dominés par des étrangers que par les français et après avoir recherché ce sujet, il me paraissait que c’était quasiment toujours le cas depuis 1904. Un des plus importants mouvement d’art moderne, ‘L’Ecole de Paris’, composé que d’artistes immigrés, s’y est entendu sur la presque totalité de la première partie du vingtième siècle. En de du l'histoire du comparant ‘de L'Ecole Paris ' avec la scène artistique des étrangers aujourd'hui, j'ai découvert non seulement d'art fascinant et innovateur des deux époques, mais aussi les politiques derrière le déplacement des artistes.

Les deux premiers chapitres de cette dissertation auxquels fait référence la vie des artistes et leur motivations qui leur menés à Paris, ils posent des questions ; pourquoi quitter les pays d’origines ? Pourquoi venir à Paris ?

Le premier chapitre qui se concentre sur l’Ecole de Paris, est une étude rétrospective de l’ascension et la chute de ce mouvement alors que le deuxième qui s’agit des artistes étrangers d’aujourd’hui, analyse la structure politique et les orientations

budgétaires pour le ministre de la culture et communication de la République.

Le dernier chapitre, j’ai choisi quelques œuvres des deux époques qui représentent en particulier l’influence du déplacement à Paris, et de la ville.

C’est d’abord une étude spécifique sur la culture intrinsèquement françaises et surtout parisienne. C’est aussi une investigation sur l’attitude des hommes/politiques et la population de la France vers des immigrants artistiques du passé et du présent. C’est enfin une dissertation qui contient des analyses politiques, historiques, sociologiques et culturelles, quatre des plus importants sujets qu’on étude dans le département des langues modernes à ‘Keele University’.

En ce qui concerne le recherche que j’ai entrepris, au cours des douze mois à Paris, j’ai visité les plus grands musés de la ville (le Centre Georges Pompidou, Palais de Tokyo, Musée d’Orsay…) et les petites galeries obscures (Galerie Yvon Lambert, Baudoin Lebon…) pour mon boulot et aussi pour plaisir. J’ai parlé aux professionnels du monde d’art, de curateurs, des promoteurs et des artistes eux-mêmes. J’ai profité de la bibliothèque compréhensive et énorme du Centre Georges Pompidou où j’ai tombé sur des archives des magazines d’art, des courts-métrages des artistes et bien sur, des livres.

Il est bien naturel que la recherche ne se soit pas déroulée sans problèmes. Dans le but de faire une série d’interviews avec plusieurs artistes, même ceux qui j’ai rencontré personnellement, or ils n’étaient pas enthousiastes de m’aider avec mon projet. Apres avoir essayé de les contacter par email et par téléphone, j’ai réussi de faire une questionnaire avec un étudiant /artiste. Heureusement je suis arrivée à mieux comprendre la vie d’un artiste étranger à Paris, de son point de vue. A part de ça, la seule chose qui m’a ralenti était l’été à Paris ! Sachez que personne ne reste à la capitale pendant les mois de juillet et août donc les musées sont parfois fermés où ferment tôt et  le personnel aux bibliothèques est rarissime. Ainsi, quelques livres etait manquants et les horaires y étaient limités. Il n’y a nulle part au monde à part de Paris où tout le monde se volatise en été !

Chapitre 1 ‘L’Ecole de Paris

Entre 1907 et 1939, un phénomène bouleversant dans le monde artistique s’est passé. Ce mouvement-là, baptisé ‘L’Ecole de Paris’ par André Warnot en 1925, se composait des nombreux artistes étrangers qui eurent afflués en masse à la capitale, s’éloignaient de leurs traditions et leur pays natal. Parmi ce groupe d’artistes, il y avait des créateurs connus et révolutionnaires comme Marc Chagall, Amadeo Modigliani, Jacques Lipchitz, Max Weber, Moise Kisling, Emile Lahner, Mané Katz, Chaïm Soutine, Sofia Delaunay, quasiment tous venaient de l’Europe de l’Est (sauf Weber qui était américain) et par conséquent : juifs.

Le quartier de Montmartre, occupé par l’Espagnol (mais accepté par les français aussi bon qu’un français) Pablo Picasso et son entourage, fut éclipsé par la migration des jeunes artistes étrangers qui se groupaient à Montparnasse, aussi que les innovateurs français. Ainsi, ce quartier dans le sud de Paris fut déclaré non seulement le quartier des artistes mais aussi la capitale d’art du monde entre 1907 et 1939. Bien que les grands artistes comme Picasso, Matisse, Cézanne et Van Gogh s’installaient à Montmartre ou dans les quartiers bourgeois, il se fréquentaient très souvent les artistes à Montparnasse et par la suite, prenaient part considérablement à influencer les œuvres de l’Ecole de Paris. C’est-à-dire que les nouveaux artistes juifs de Montparnasse apprenaient les principes et techniques de cubisme* et fauvisme* et en utilisant ce vocabulaire, ils développèrent leur style unique : le début d’expressionnisme*

CUBISME : un style caractérisé par la simplification de la forme, des perspectives déplacés, l’aplanissement de couleur et la fusion des objets et l’espace.

FAUVISME : L’utilisation de la couleur afin d’exprimer des sentiments mais dans une contexte reconnaissable, représenter la nature.

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EXPRESSIONISME : L’expression des sentiments et des émotions est le seul but, sans faire beaucoup d’attention de la nature.

L’époque de l’Ecole de Paris datant entre 1907 et 1939 y inclure la première guerre mondiale et aussi la montre de Hitler et ses opinions antisémitiques qui causèrent des problèmes graves pour le groupe des artistes immigrés et juifs. Tous les artistes

rentrèrent à leur pays d’origine pendant la guerre, Chagall et Katz en Russie, Modigliani en Italie, Weber aux Etats-Unis. Quelques firent preuve de leur dédicace à leur nouveau chez soi et ils battirent dans les champs de ...

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