Beaucoup de l’inspiration des «Fleurs du Mal» est venue des expériences de Baudelaire pendant les trois années ultérieures après il a fini sa carrière scholaire. Pour le poète, c’était une période parsemée de l’abus de son corps. Il a commencé à utiliser les drogues, l’opium surtout. Après avoir couché avec des prostituées régulièrement il a été attient de la syphillis, la maladie qui l’a tué. A la suite le ton de sa poésie est souvent comme un rêve provoqué par les drogues. L’écriture à propos de l’amour est extrêmement doux et engourdi. Son travail au sujet des autres choses négatives, comme l’ennui et la morte, est violent et pousé par la crainte – par exemple la dernière strophe du poème s’appelle «Les Métamorphoses du vampire» qui conteint ces vers obsédants:
«Je fermai les deux yeux, dans ma froide épouvante,
Et quand je les rouvris à la clarté vivante,
A mes côtés, au lieu de mannequin puissant
Qui semblait avoir fait provision de sang,
Tremblaient confusément des débris de squelette»
La plupart du temps l’imagerie de la poésie est insolite et parfois une peu pervertie. Ainsi les extrêmes de sa humeur et le vocabulaire exceptionnel qu’il a choisi sont des vraies indications de l’étendue de cette influence. De plus il a écrit une collection des poèmes entière, nommée «Le Vin». Par l’usage de ce nom Baudelaire nous fournit une indication suplémentaire de cet impact sur son travail.
Ses relations personelles contribuent aussi à une proportion significative de son écriture. Les liasons de Baudelaire avec des prostituées, qui sont mentionnées au-dessus, sont les sujets de beaucoup de ses poèmes. Par exemple, il existe un poème duquel le premier vers est «une nuit que j’étais près d’une affreuse Juive»; ceci est une référence qui concerne sa première maîtresse qui s’appelle Sara. Cependant, l’une qui avait l’influence la plus importante est Jeanne Duval, sa «maîtresse mulâtresse» dont il a fait la connaissance en 1842. Baudelaire exprime son adoration erotique pour sa beauté noire dans plusiers des poésies qui constituent les «Fleurs du Mal». Des exemples des autres poésies dont elle et le sujet sont «Parfum Exotique», «La Chevelure» et «Le Sepent qui Danse». Ainsi on peut dire qu’elle était l’un de ses stimulants le plus formidable.
En effet, l’érotisme en géneral figuré en bonne place sur son travail. Peut-être que c’est à la suite de toutes d’influences déjà citées: son désir sexuel est devenu intensifié par l’usage des drogues et les prostituées. En fait, il était tellement obsédé qu’il a failli renommer les «Fleurs du Mal» «Les Lesbos». Par ailleurs, c’est difficile à comprendre la raison pour cette préoccupation – mais c’est clair qu’elle l’a inspiré à écrire. Cependant, Baudelaire a communiqué ces concepts de manière romantique qu’il a fait office d’adoucir le contenu. Il existait une appréciation notable mutuelle entre Baudelaire et Hugo, l’auteur romantique. De plus, Baudelaire a écrit des essais au sujet du travail de Balzac, un autre écrivain romantique, pendant qu’il étiat critique. Ainsi on peut voir qu’il était influencé aussi par des autres genres d’écriture contemporains, le romantisme surtout.
J’ai déjà discuté de son emploi insolite de l’imagerie, mais il existe un autre aspect de son écriture pour lequel Baudelaire est célèbre. Aujourd’hui il est renommé pour la structure rigide de ses poèmes. Sa maîtrise du rythme poétique s’exprime sous forme des sonnets techniquement irréprochables et l’utilisation impeccable des structures comme la strophe encadrée. Le poème s’appelle «Femmes damnées» est démonstratif de son talent. Il se compose de sept strophes de quatre vers. On trouve une rime rigide entre le premier et le troisième vers et le deuxième et le quatrième vers de toutes les strophes. Pour démontrer cet aspect de son travail, j’ai choisi la strophe:
« Les unes, coeurs épris de longues confidences,
Dans le fond des bosquets où jasent les ruisseaux,
Vont épelant l’amour des craintives enfances
Et creusent le bois vert des jeunes arbrisseaux »
A mon avis, cette strophe nous expose son engagement littéraire en ce qui concerne et la structure et la rime. L’abondance des exemples comme ceux au-dessus est partisan du fait que la structure technique était une caractéristique proéminente dans son écriture.
L’écriture de Baudelaire est unique. Peu definissable par genre mais souvent semblable au romantisme, son travail est d’une part sordide au sujet du contenu mais d’autre part magnifique au sujet des images. Le poète choisit adroitement d’un carquois des structures poétiques et il est un maître de l’usage des images évocatrices. La situation politique, ses problèmes en ce qui concernent sa famille et son éducation, ses voyages, l’abus de son corps, Jeanne Duval, les autres auteurs du siècle – toutes cettes choses ont façonné et motivé l’écriture de Charles Pierre Baudelaire. Contrairement au mépris avec lequel son travail était reçu au cours de son vivant, aujourd’hui on le voit au premier plan de la littérature française.
(1082 mots)
Charles Baudelaire, «L’Ennemi»
Charles Baudelaire, « Les Métamorphoses du vampire »
Charles Baudelaire, «Femmes damnées»