Maupassant introduit les personnages avec l’ironie tangible. Par exemple, Monsieur et Madame Carré-Lamadon paraissent très nobles, mais Maupassant utilise l’ironie. Il décrit Madame Carré-Lamadon de « beaucoup plus jeune que son mari, demeurait la consolation des officiers » - elle est pas parfait, et on peut dire qu’elle n’est pas meilleure que Boule de Suif, à cause de sa intérêt dans les jeunes officiers. Mais Mme Carré-Lamadon méprise Boule de Suif à cause de sa profession. Aussi Maupassant dit que la comtesse se donne les grands airs, quoiqu’elle soit la fille d’un petit armateur. Nous apprenons que le comte a une ressemblance avec le roi Henry IV, et on peut penser qu’il est très noble, mais Maupassant dit qu’il « s’efforçait d’accentuer, par les artifices de sa toilette » cette ressemblance. Aussi, la « légende glorieuse pour la famille » de sa liens avec la famille royal n’est pas vraiment très glorieuse – le comte est actuellement un enfant illégitime de cette famille. Ces références rendrent les bourgeois immédiatement un peu risible. La commentaire évidemment ironique, « des honnêtes gens autorisés qui ont de la Religion et des Principes » support cette impression, qui est prouvé pendant toute la conte. Un autre personnage est Cornudet, le democ, un exemple d’un homme qui pense qu’il est patriotique et courageux, mais en réalité « il trempait sa barbe rousse dans les bocks de tous les cafés démocratiques. » Par exemple, il se sent très courageux, parce qu’il a organisé les pièges et les défenses, mais « à l’approche de l’ennemi… il s’était vivement replié vers la ville, » alors il n’a pas vraiment assez de courage d’être patriote.
Ces descriptions contrastent avec les descriptions de Boule de Suif dans tout le conte, et on peut voir que les bourgeois ne se comportent pas comme les gens gentils, considérant que Boule de Suif est toujours aimable et elle essaye d’aider les autres, même quand ils la traitent cruel. Le premier affichage du caractère de Boule de Suif est dans la voiture, quand elle partage la nourriture avec les autres voyageurs, bien qu’ils n’étaient pas aimables avec elle au commencement du voyage. Les bourgeois ne veulent pas socialiser avec Boule de Suif parce qu’ils pensent évidemment qu’ils sont meilleures qu’elle. Au contraire, elle offre la nourriture quand les autres ont besoin, mais il y a une comparaison directe avec les événements de fin du conte, quand Boule de Suif est affamé et n’a rien de nourriture. Les autres voyageurs ne la donne rien de leur nourriture, quoiqu’elle leur ait donné quand ils n’avaient pas de l’aliment. On peut voir que les rôles supposés de chaque groupe sociale sont à l’inverse, parce que la femme du commun est noble et voudrait aider les autres, bien qu’ils ont été cruels. Quand Boule de Suif crier dans la voiture, tous les passagers l’ignorer, parce qu’elle a accompli son but, et ils ne la veulent plus. « Mme Loiseau eut un rire muet de triomphe, et murmura : « Elle pleure sa honte. » » Ils n’ont rien de sympathie, même si c’est leurs faute qu’elle crie. Ils jouent avec les cartes et se font plaisir dans leur nourriture et leur évasion des Prussiens, et ils choisissent d’oublier que Boule de Suif a fait quelque chose qu’elle n’a pas voulu faire pour les aider.
L’événement principal qui montre les personnalités vrai des bourgeois est leur traitement de Boule de Suif dans l’auberge. Au début, les bourgeois sont sympathique, et ils disent qu’ils sont aussi dégoûtés que Boule de Suif, quand l’officier prussien demande qu’elle se couche avec il. Ils disent que c’est injuste, et ils soutiennent sa décision de refuser l’officier. Mais quand ils réalisent qu’ils ne peuvent pas partir si elle ne se conforme pas, ils deviennent égoïstes encore, et ils essayent à persuader Boule de Suif de coucher avec l’officier. Mme Loiseau dit « Puisque c’est son métier, de faire ça avec tous les hommes, je trouve qu’elle n’a pas le droit de refuser l’un plutôt l’autre. » Ils se convainquent que l’officier se comporte convenablement, parce qu’il s’est approché le femme qui n’appartient à personne. Loiseau veut « livrer « cette misérable » pieds et poings liés à l’ennemi. » Cette idée est simplement barbare, et nous pouvons voir qu’il est très désagréable. Tous les bourgeois essayent de manœuvrer Boule de Suif. Par exemple, même les « bonnes sœurs » jouent un rôle ; elles ne protestent pas. En fait, la plus âgée dit que Boule de Suif devrait coucher avec l’officier, parce que « Une action blâmable en soi devient souvent méritoire par la pensée qui l’inspire. » Ces exemples montrent que les bourgeois ne sont pas nobles ou respectables, et nous nous trouvons considérer que Boule de Suif est en fait une meilleure personne qu’eux. Le plus que nous voyons du comportement des bourgeois, le plus que nous admirons Boule de Suif, la personne dont ils désapprouvent. Je croix que c’est le point principal du conte, et cette événement démontre la contraste entre les bourgeois et Boule de Suif, qui devient l’héroïne du conte. Les autres parlent entre eux, et ils disent que coucher avec l’officier devrait avoir peu d’importance pour Boule de Suif, parce qu’elle est prostituée. Mais Boule de Suif se prouve qu’elle a les valeurs, et aussi plus de patriotisme que les bourgeois, bien qu’on s’attende qu’ils fussent plus patriotiques.
On peut voir les sentiments semblables dans les autres contes de Maupassant, « La Mère Sauvage » et « Deux Amis » en ce qui concerne le courage des gens du commun. Dans « La Mère Sauvage », la femme prouve qu’elle a beaucoup de courage, quoique ce soit malavisé. Elle sait qu’elle affrontera la mort, mais elle fait encore ce qu’elle pense est juste. Quoique ses raisons soient plus personnelles, elle n’a pas encore la peur des conséquences de ses actions, alors on peut voir qu’elle est très courageuse. C’est semblable de Boule de Suif, où elle a des valeurs, mais les bourgeois n’ont rien. Les deux amis qui meurent pour protéger leur pays ont aussi des valeurs et du courage. On croit que les bourgeois ne feraient la même pour la France, si ils se trouvent dans la même situation – nous croyons qu’ils seraient égoïstes, et essayer de s’enfuir, comme dans « Boule de Suif », sans considération pour les autres.