Jusqu' quel point le public franais est-il-prt accepter l'interdiction de fumer?

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Jusqu’à quel point le public français est-il-prêt à accepter l’interdiction de fumer?

Depuis le 1 février 2007 l’interdiction de fumer est entrée en vigueur dans les lieux publics et le tabagisme sera totalement interdit en France donc je vais examiner à fond dans quelle mesure les français sont-ils prêts à accepter l’interdiction en considérant les chiffres– des français qui fument, et le résultat. Aussi la réaction du gouvernement, surtout la réaction des gens et les implications possibles que cela aurait pour l’avenir, pour évaluer jusqu’ à quel point la France est prête à accepter l’interdiction de fumer.

Bien que le tabagisme soit nocif pour la santé beaucoup de français  fument. Selon les chiffres il y a 15 millions de fumeurs en France et un tiers des personnes de 12 à 75 ans fument et 50% de fumeurs fument plus de dix cigarettes par jour donc c’est tout à fait normal qu’il  y a eu l'opposition à l'interdiction. Lundi 19 mars, près de 6 semaines après le commencement de l'interdiction, le Conseil d'Etat a rejeté sept requêtes demandant l'annulation du décret d'interdiction de fumer dans les lieux publics.2  Certains ont dit que l’interdiction est contre la « liberté d'entreprendre »  (des débitants de  par exemple) et les « libertés individuelles ». Et il y a eu la forte résistance de villes comme Saint Claude qui « est devenue la capitale mondiale de la pipe »  Et il y a eu l’opposition de certains groupes comme la "Confédération des chambres syndicales des débitants de tabac de France", la "Confrérie des maîtres pipiers de Saint-Claude" et l'association "Touche pas à ma clope", qui disent que ce décret est trop contraignant. 

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L’interdiction a causé aussi les problèmes dans les bureaux, un ouvrier dit : « Mes collègues fumeurs qui, après leur café allez s’en griller une petite, durée approximative 3 minutes. Maintenant sont obligés de nous quitter pendant plus de 10 minutes le temps de traverser l’établissement, de fumer et de revenir »   « Par profession, les ouvriers sont les plus nombreux (22%) à se dire "défavorables" » 

Et il a devenu une grande issue dans les écoles car de crainte de la sécurité des élèves et des enseigneurs  maintenant que il y n’a pas un endroit officiel pour eux de fumer. Un enseigner ...

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