Que connais-tu du Bon Dieu…
Tu n’en connais rien de mieux
Aussi, le thème d’amour se présente encore une fois ici dans « Grand Jacques » que dans « Quand On n’a Que l’Amour ». Mais, ici, l’amour est présenté, je crois, avec la négativité :
Comme si l’amour durait l’éternité
Pour moi, ce vers a plein de cynisme contre l’amour, en particulaire après le vers
…Il craque en deux parce qu’on l’a trop plié
Je me sens qu’ici, Jacques Brel veut montre qu’on doit faire attention lorsqu’on aime. Aussi, qu’on ne soit pas assez d’attention avec son amour, et on le considère comme allant de soi.
Deux autre trucs importants quand on pense de la poésie est la langue et la structure. Je trouve dans « Grand Jacques » qu’il y a une grande utilisation de verbes. Je pense que ca monte que Jacques Brel veut que nous sommes actives dans notre opinion, et que son opinion est active. Par exemple, dans la première strophe, il y a quatre verbes – « être », « entrer », « déverser », « fermer », « pardonner ». Dans la deuxième strophe, il y a cinq – « être », « aller », « gueuler », « faire », « voir ». L’activité me force d’agir – il me touche.
Dans toutes les strophes, le verbe « être » se présente beaucoup, en beaucoup de temps. Je pense que Jacques Brel voudrait nous connaitre que les situations qu’il décrit soient actives et présentes.
Jacques Brel utilise les rimes, comme et ca enforcie son message parce que l’intonation de la voix attire l’attention du auditeur, et donc me touche, par exemple :
…des yeux bleus et cheveux fous
Dans le poème « Quand On n’a Que l’Amour » Jacques Brel utilise le technique de la rime embrassée ; ABBA. Je pense qu’il veut qu’on réagisse comme l’amour, donc, englobe tous ;
Quand on n’a que l’amour
A s’offrir en partage
Au jour du grand voyage
Qu’est notre grand amour
En cet exemple là, je voie que Jacques Brel parle de l’amour avec la personne deuxième personnelle, « nous », á part de quand il répète le titre du poème. Je voie qu’il le fait aussi dans la dernière strophe –
Alors sans avoir rien
Que la force d’aimer
Nous aurons dans nos mains,
Amis le monde entier
Il n’utilise pas de tout « on » dans la dernière strophe. Je crois que ca mont Jacques Brel voulant de montre l’amour comme quelque chose qui n’est pas impersonnelle, comme « on », mais quelque chose personnelle. Ca se mont aussi dans l’utilisation de « on » quand Jacques Brel parle de « l’amour » mais lorsqu’il parle d’ « aimer », le verbe, l’actif, il parle de « nous ». Donc, dans une autre façon, Jacques Brel mont que l’amour doit être actif et personnelle – on ne doit pas dire « l’amour » parce que c’est inactif, un nom, on doit être actif et on doit « aimer ». Il mont que l’amour est un force avec son vers « la force d’aimer » qui est plus même fort. Donc sa langue ici me touche.
Dans « Quand On n’a Que l’Amour », j’aime quand il change la rime de embrassée á la rime croisée, parce que Jacques Brel, je pense, attire l’attention á la dernière strophe. J’adore quand Jacques Brel force les sons de notre voix :
Chaque heure et chaque jour
Parce que le son semble une explosion de joie d’amour. Ca me touche á mon cœur.
Pour moi, les poèmes me touchent avec leur langue, structure et thème. Mais les deux choses qui m’effet le plus sont son thème d’amour et comment, quand il les chante, son voix se remplie avec sa passion. Apres ses poèmes, sa passion est ma passion.
Naomi Bloomer, U6H Page of