La Nouvelle Vague a ___________________________ ces deux mythes.
La rupture de ce mouvement est first felt par l’apparition de Brigitte Bardot, mise en scène par un homme, Roger Vadim, a écrase toute autre représentation de la femme. Dans « Et Dieu créa la femme » par exemple Juliette est différente de tout ce qu’elle aurait pu être et qu’elle n’est précisément pas. Juliette pourrait dans le nœud de relations ambiguës o’u elle se trouve, être considère comme une « putain ». « Putain » non pas au sens économique strict du terme, mais avec les sus-entendus de l’avidité sexuelle irrésistible. Françoise Aude a dit : « Juliette-Brigitte Bardot ne subit pas son desir : elle l’affirme avec simplicite comme un fait de nature. Sa conduite ne traduit pas un besoin muet en offre provocante. Elle provoque uniquement parce qu’elle traduit sa vérité ». La vérité, c’est que Juliette sait ce qu’elle fait, ce qu’elle choisit de faire. Juliette est sans doute l’affirmation d’elle-même. Peut-etre à cause de ces raisons-la, Bardot est devenue un mythe de son temps, « le produit de son époque ». La liaison entre la figure de Brigitte Bardot et la modification du statut de la femme dans la société francaise est évidente. Au fil de la production de cette décennie, au cœur des films de la Nouvelle Vague, des comportements de la femme ont changes. D’autres images de la femme se sont peu ‘a peu passées dans le visuel et mental du cinéma francais.
La performance de Brigitte Bardot dans «Et Dieu créa la femme» était un impact immédiat sur le cinéma et dans la vie des francais – spécialement les jeunes Français. L’impact de la participation d’Emmanuelle Riva dans «Hiroshima mon amour» d’Alain Resnais n’était pas pareil ‘a ce de Bardot, mais son importance profonde au plan artistique sont bien plus pertinentes. D’un documentaire sur la bombe atomique ‘a une histoire d’amour, « Hiroshima mon amour » est marque par une identification littérale ‘a la femme. « Hiroshima mon amour » est certainement un film adulte, pour le public adulte.
Le film est une identification littérale ‘a la femme, et aussi, plus importante, c’est une identification, une projection globale dans son univers. Ce besoin de recrée le passe, d’exprime la passion et la déception amoureux est spécifiquement un besoin de femme. La femme est visiblement émerge dans une crise existentialiste, elle fait de ça vie emotionel une véritable présence au monde.
« Elle est un des plus beaux personnages du cinéma francais, une femme. Une femme sortie d’elle-même, desenclauce de son ego, de son Nevers et de son silence » Elle parle, elle se réunifie…
François Truffaut est le cinéaste francais de la haine de la mère. On se souvient d’Antoine Doinel (Jean-Pierre Léau), dans « Les 400 coups », par la séduction physique de sa mère, par les jambes de sa mère. On se souvient qu’il découvrit qu’elle trompait son père. La mère, presque prostituée, la femme seule et indenpendente….
… Dans « L’homme qu’aimait les femmes », Truffaut…..
ses jambes arpentent les rues, son corps s’exhibe sous le peignoir entrouvert. Elle condamne son fils ‘a l’immobilité et au silence.
« L’utilisation qu’il fait des personnages féminins, rend le cinéma de Jean-Luc Godard détestable. Seul peut-être, dans la Nouvelle Vague, Jean-Luc Godard mérite d’entre considère comme novateur. Dérangeant, provocant, il est, c’est indéniable de tous les réalisateurs francais des années 60, celui qu’apporte et importe le plus.
Godard a commenc’e par le portrait d’une donneuse (Jean Seberg, dans « A Bout de Souffle »), puis il a, de film en film, montr’e des femmes qui couche, qui mentent, qui trahissant : toutes des « salopes ». ..
Quand ses femmes ne sont pas haïssables, elles sont passablement demeurées. La femme mariée exprime la priorité, chez elles, de l’instinct sur l’activité consciente : PARTE DO FILME « j’aime le present parce que pendent le present j’ai pas le temps de reflechir, j’peux pas penser ». Aussi passent-elles de l’inertie au mouvement, de la passivité ‘a l’arrivisme violent selon l’humeur de l’instant. Jacques Belmans interoge : « Est-il logique que Patricia denonce Michel ‘a la police pour se prouver qu’elle ne l’aime pas ?… Est-il logique que Veronica soit « torturée ‘a mort » dans « Le petit soldat ? » Le cinéma de Godard est sciemment illogique : cela fait penser. Cela fait causer, mais, malheuresement, pas sur l’image des femmes ainsi véhiculée.