Regardons maintenant le cas de Françoise de Canoet, mère de sept enfants ! Sept enfants plus que Tituba !!!, Françoise de Canoet qui voulu toujours le bonheur de ses enfants, qui avec Loïc, elle s’empressait de lui trouver une fille parfait, je cite a la page 59, « Loïc avait tout de même fini par comprendre que cette fois, le piège se resserrait singulièrement. » qui montre comment la mère, voulant le bien du fils a piège se dernier en concluant son mariage avec Thérèse. Nous voyons aussi le chagrin d’une mère la page 65 ou Françoise était effraye de voir son fil préfère Yves fascine par ce lagon ou était noyé sa fille. « A couse de sa fille Bénédicte, noyée a vingt ans, Françoise de Canoet haïssait la mer et se désespérait de voir Yves fascine par ce lagon aux courants perfides. » Françoise de Canoet aimant son fil, et faisant tous pour lui plaire, comme démontre la citation a la page 67 « bien que le départ de son fils cadet la rendit triste, Mme de Canoet l’avait soutenue » L’obsession et l’excitation de Françoise de Canoet démontre son attachements et ses sentiments profonde pour son fils, elle qui veut protéger son fils, « même si cela ne s’avoue guère, la femme qui épouse le fils qu’on préfère est toujours, pour sa mère une ennemie. ». Elle Françoise de Canoet outre de la façon de son fils, qui ne la pas dit qu’il s’en aille, a elle sa mère ! , je cite a la page 106 « Qu’on ne lui parle plus jamais de ce fils indigne. Qu’il ait abandonne femme et enfant n’était pas le pire. Mais lui a brisé le cœur a elle, c’était impardonnable, ». Elle qu’on a brise le cœur, Elle qu’on a trahi ses sentiments…
Enfin venons aux deux personnages les plus extraordinaires de ce romain de Genièvre Dormann. Maureen Oakwood et sa mère.
Maureen Oakwood l’une des personnages principaux de ce romain. Une mère pas comme les autres, qui comme tituba ressent un attachement a sa fille, même avant que celle-ci naisse. Comme nous pouvait le constater a la page 70, avec l’énumération suivant « Mais Maureen dansait de joie et, le ventre encore plat, courait acheter des brassières multicolores a Kings road, inventait un berceau en nacelle a suspendre dans le loft, le seul moyen, disait elle, de protéger le bébé contre les souris, les fourmis et les mauvais sorts. » Maureen Oakwood, une mère tète en l’aire qui aime sa fille comme une petite sœur, je cite a la page 97 « Elle, se contentait de jouer avec sa fille et a des jeux idiots.» Elle aime sa petite et lui montre toutes sorte de petit jeux comme avec la tortue « s’assoit à califourchon sur une tortue géante en lui grattant la carapace pour la faire avancer et ceci sous les yeux de sa fille qui n’aurait jamais eu l’idée de ce genre de locomotion ? » Elle adopte une tout autre méthode pour éduquer sa fille, elle lui chante une petite chanson pour la punir « une mère sensée espérer corriger le naturel boudeur de sa fille en lui récitant par dérision une comptine aussi stupide » ou même pour sa diction elle lui fait dire la ligne « Chemises Archi-sèche de L’archiduchesse ». Maureen qui montre a sa fille les multiple facettes de l’ile, je cite a la page 100, « Bénie se souviendra toujours de cette cueillette bizarre inventée par Maureen sur une petite plage de la cote ouest ». Et Maureen, qui la décrit les naufrage, l’historique de l’ile comme s’il y elle était….je cite a la même page, « Maureen racontait, comme si elle y avait assiste ». Une mère qui lui répond a toutes questions et angoissée, comme nous le voyons à la page 340, avec l’histoire des petits têtards qui gagnera sa course a la vie. Une mère qui s’exilera en Australie, pour on ne sait quelle raison, une mère qui quittera sa fille des la disparition de son mari, je cite a la page 114 « Bénie restée a l’Hermione et ne rejoignait sa mère que pour les week-ends ». Une mère qui lui révèle qu’elle est medium comme sa mère avant elle. Une mère pas comme les autres. Bénie ressentira une tristesse, un chagrin énorme quand sa mère disparait elle aussi…je cite a la page 388 « elle ne partirait pas avec que Maureen ait disparu ». Bénie qui regrette de ne jamais avoir vraiment connu sa mère, je cite « mais qu’elle n’aura pas eu le temps de connaitre vraiment » Bénie si l’on puisse dire, a perdu sa mère et son père très jeune…comme tituba. Et comme cette dernière elle n’as pas vraiment connu les sentiments profonde d’une mère a sa fille. Elle a connu que des hauts et des bas.
Dernièrement nous avons la mère de Maureen, qui comme cette dernière, n’est pas comment les autres.
La première fois que nous rencontrons cette femme, nous voyons déjà qu’elle aussi ne parait pas comme une mère, je cite à la 71, « Ma mère ? Pouffa Maureen, elle ne s’occupe que de ses chats. J’ai, par l’héritage de mon père, encore plus d’argent qu’elle et, du moment qu’elle me sait vivante, tout ce que je fais lui importe peu. » Nous revoyons ce manque totale de lien a la page 193, « lady Oakwood lui parlait mais sans lever les yeux de son ouvrage, sans jamais la regarder, » ou lady Oakwood ne regarde même pas sa petite fille et ne lui montre aucun attachement. Elle c’’ewstr même suicider, est ne mit ses enfants au courant qu’âpre sans même les dires pourquoi. Ce n’est qu’a la fin du livre que nous voyons que Lady Oakwood n’a jamais oublie sa fille, je cite à la page 388, « Très souvent elle me parle ainsi. Elle m’a dit que l’Australie état très, très good for me. » Cette citations démontre que les sentiments entre mère et enfant ne sont souvent enfoui mais sont toujours existant.
Tout ceci montre que les sentiments entre une mère et son enfant existent toujours mais que parfois elles sont enfouies au plus profond de soi.
Abordons maintenait la dernière parti de cet oral. La maternité volontaire/adoptif.
Premièrement dans cette parti, nous avons la grand mère de Bénie, celle que nous nommons Françoise De Canote, personnage de romain « Balle du dodo ». Cet elle, qui va reprendre Bénie et la traitée comme sa fille. Tous commence depuis que Bénie a cinq ans, ou nous voyons ce petite jeu entre la grand mère et cette jeune petite, cette dernière qui ne veut parler a la grand mère en français, je cite a la page 81.« pendant des semaines, Bénie refusa de s’exprimer autrement qu’en anglais, surtout en présence de sa grand mère ». La grand mère est fascinée par cette petite, je cite « il était évident Mme de Canoet était fascinée par l ; enfant. » Nous voyons aussi a la page 83, la grand’mère qui sen préoccupe beaucoup de sa petite fille, « sachant sa grand’mère dans la pièce voisine, elle se mettait à hurler et a geindre :
-Granny, Granny, come, please! I’ve broken my leg!
Et la grande mère, affolée, accourait. » Ces a elle que la tache d’éduquer Bénie fut donne, je cite, « puisque elle-même ce chargeant de l’éducation de bénie. » Cette Françoise de Canoet qui veut offrir a Bénie tout ce qu’ill. Y a de plus beau. Je cite a la page 124, « Cette bénie pour laquelle elle ne trouvait rein de plus beau. » Et Bénie, qui pense toujours a cette grand’mère extraordinaire, je cite a la page 14, « Ainsi avait surgi pour bénie cette Françoise de Canoet, née Hauterive, dite « Grand’mère » celle qui avait toujours refuse qu’on l’appelât « Granny » parce que, disait elle-en relevant la pointe de son menton, «.grâce à dieu, nous avons toujours été français, chez nous ». Ce qui était, évidemment, une pierre sans le jardin de sa bru anglaise. », Cette rétrospection nous montre comment bénie a retenu ces petites détails de sa grand’mère. Une page âpre, nous observons comment cette Françoise de Canoet revient pour aider bénie, je cite, « calme-toi, mon enfant, la plus chère de mes filles. Je peux te dire aujourd’hui : ne t’inquiète pas. Je serais prés de toi, chaque fois que tu m’appelleras à ton secoure. Et crois moi, ou je suis, nous avons le bras long… ». Elle sera toujours la, comme une mère, pour aider sa petite fille.
Complètement différents de Françoise de Canoet, dans tous les termes, nous avons Tituba, protagoniste du romain de Maryse Conde. Elle n’a pu avoir d’enfant, mais dans ce livres nous la retrouvons avec les enfants des différents maitres qu’elle eu, est bien sure, Iphigene et la petite Samantha. Nous retrouvons les deux premier « enfants » si je pu dire, de tituba a la page 67, ou elle repense a l’enfance manquée de ces jeunes filles, qui n’ont jamais connu l’amour d’une mère, je cite « Pour des raisons sans nul doute différentes des mien, je devinai qu’on ne leur avait jamais chante de berceuses, raconte de contes, empli l ;’imagination d’aventures magiques et bienfaisantes. J’éprouvai une profonde pitié pour elle, pour la petite Betsy surtout, si charmante et désarmée. ». Elle, Tituba, va tenter de essayer de retrouver ce temps perdu, al la page 78, je cite, « J’en profitais pour entrainer les enfants dans le jardinet qui s’étendait derrière la maison et alors, quels jeux ! ». Tituba, qui veux protéger cette Betsy, « Ne fallait-i pas protège l’enfant comme j’avais protège la mère ? »(100). Tituba utilise Betsy comme une pilule contre le chagrin qu’elle eu en tuant son enfant, elle donne a Betsy toutes l’affection quel donneriez a son propre enfant, je cite page 102, « plongeant Betsy dance ce bain brulant, il me semblait que les même mains qui avaient donne la mort peu de tempos auparavant donnaient la vie et que je me lavais du meurtre de mon enfant. », mais Betsy la trahira, Tituba était comme une mère, oui, mais pour Betsy se n’était pas sa mère, pour Tituba, ce fut un choque comme nous démontre la citation a la page 123, « ces paroles, je les avais déjà entendues ou bien j’en avais lu la substance dans ces égards. Mais je n’avais jamais imagines qu’ ; elles tomberaient d’une bouche qui m’était si chère ! Tituba deviendra une mère adoptive une deuxième fois, cette fois ci, de neuf enfants. Cette fois ci nous voyons les taches accompli par les mères dans leur vie quotidienne, « Il fallait carder la laine, filer, réveiller les enfants, les aider à se laver, a se vêtir, faire du savon. ». Mais de ces relations avec les enfants nous n’avons pas plus de détails. Iphigene, l’enfant que Tituba adopta et revira. Iphigene considère Tituba comme sa mère, il lui appel mère, comme nous montre cette exclamation a la page 246. « Mère tu avais grand besoin d’un homme auprès de toi !»Iphigene qui voulait chasser ces blancs pour aider sa mère, Iphigene qui guérira celle-ci quand elle est blesse. Iphigene qui comme Betsy trahira Tituba pour devenir son fils amant… Iphigene une autre trahison, une autre déception. Finalement nous avons Tituba est Samantha, Samantha pour qui Tituba est sa mère, l’enfant qu’elle a littéralement pris dans ces bras, « et je reçus, dans mes mains, une petite fille », et comme Tituba elle voulait apprendre tout, et Tituba la montra tous. « Enfant que je n ; ai pas porte, mais que j’ai désignée ! Quelle maternité plus haute ! » Cette citations a la page 270 nous montre la joie de Tituba quand elle eu Samantha comme fille adoptive. Tituba qui veux replace ses enfants non-ne pas d’autres enfant, et cela ne marchera pas sauf peut être dans le cas de Samantha.
Laurencia, negre du livres de Geneviève Dormann, un protagoniste important car c’est elle qui deviendra une mère adoptive pour Bénie. Des le début du romain, nous voyons Laurencia qui plus que sa mère et sa formidable grand mère, va suivre l’évolution de Bénie, la comparaison/métaphore a la page 18 nous montre cela, « Laurencia est devenu sa nenene l’a suivie comme son ombre jusqu'à l’âge de l’école, plus attentive que sa propre mère ». Laurencia, qui va la montre toutes sortes de sortilège et de petit expériences extraordinaire, « Laurencia est un véritable alambic de superstitions plus ou moins délirants dont elle a imprégné de l’enfance de Bénie. ». Pour Laurencia elle-même, Bénie fut plus que sa maitresse, c’était comme sa fille, « Comme si, du jour ou Mme de Canoet l’a mise au service de Bénie, celle-ci est devenue le centre de son onde, plus chère encore a son cœur que les enfants née de son ventre».L’affection de Laurencia a bénie est aussi réciproque, comme nous démontres cette phrase a la page 19, « Combien de fois lui a-elle demande par la pensée courage et protection ? ».Et Laurencia la protège, comme a la page 354, « Puisque Grand Madame n’est plus la, c’est a elle de vieller sur la petite. Tous ceci démontre l’affection que porte Laurencia pour Bénie. Un sentiment qui est réciproque et qui dure.
Dans Moi, Tituba sorcière nous avons deux sorcière, l’une est Tituba et la deuxième n’est autre que Man Yaya, qui comme Laurencia et Tituba va guider un enfant sur les voies de la vie. Man Yaya qui sera toujours la pour Tituba. Man Yaya prends Tituba sous sa tutelage, « Une veille femme me recueillit ». C’est a Man Yaya que Tituba lui doit tous ces potions, tous ses secrets, tout cette magie, « « Man Yaya m’apprit les plantes », il y a la page 22 la répétition du mot « elle m’apprit » qui démontre la connaissance que Man Yaya passe a Tituba. C’est à Man Yaya que Tituba demande de l ; aide à chaque fois, comme pour conquérir John Indien. La relation entre Tituba et Man Yaya peut être considère comme une relations entre mère et fille….
Dans cette parti nous avons pu constater comment les femmes et les enfants ont une relation spéciale, même si ce n’est pas leur enfant, et comment dans ces deux textes la maternité est mise en valeur par ces mères volontaires, qui prennent sous leurs ailes ses enfants.
Que puis’ je dire comme conclusion ?, Ces deux livres m’ont montre différents aspects de la maternité, ces romains avec leur petit intrigue m’ont démontre que les sentiments entre une mère et son enfant est immense. Dans les deux livres nous avons vue ces sentiments, et même ci l’enfant n’est pas le leur, nous avons vue que cela n’a pas d’importance. Le moment un enfant est né, la mère est aussi née. Elle n'a jamais existé auparavant. Le plus grand rêve d’une femme c’est d’avoir un enfant.