Malgré certains changements de régime, le système éducatif avant 1968 en France était principalement le système de Napoléon ; maintenant laïque, mais encore discriminatif de la classe sociale. Les études classiques étaient donné le plus de valeur, et les élèves les plus forts ont été automatiquement mis au système classique. Cela a eu l’effet de rendre impossible le mouvement entre les classes. Les manifestants se sont prononcés contre la centralisation des universités, et ont requis l’autonomie et diversification. Leurs cries n’était pas vaines. Le gouvernement a, au moins superficiellement, écouté. Novembre, l’administration a voté sur la loi d’orientation de l’éducation supérieure ; avec un résultat de 441 – 0 en faveur, l’acte a été passé rapidement. Ce loi représente le désire gouvernementale de contenter les jeunes, et tenir compte de leurs demandes. Encore en effet aujourd’hui, avec quelques altérations, la loi a mis en place des provisions pour rendre chaque université financièrement autonome, et a promu des principes de la participation et la multidisciplinarité. Ainsi, à la réouverture du Sorbonne et Nanterre après la libération des élèves emprisonnés, on a vue la création de centaines de comités, et un période de silence comparatif. La modification en 1999 de la loi qui reste promeuve encore les aspirations de spécialisme et d’autonomie, donc est-ce qu’on peut conclure un succès pour les étudiants ? Au contraire, je proposerais un grand succès pour le gouvernement. Pendant la plupart des années soixante-dix, il y avait encore des disputes universitaires. Sachent que la solution reste maintenant avec les autorités universitaires, les élèves ont du y appeler. Sans l’unification des étudiants de différents établissements, les problèmes de mai 68 ont été évités. Le gouvernement n’a plus dû porter le chapeau. La loi a été un grand succès pour le gouvernement, mais n’a pas constitué une solution pour les jeunes.
Les techniques violentes adoptées par la police se sont attiré le soutien populaire. Suivant les étudiants, la force ouvrière s’est rejointe à la cause. Premièrement a-t-on vue les grèves généralisées, notamment la grève d’aviation à Nantes, puis les ouvriers ont commencé à occuper les usines. Le 16 Mai, 50 usines ont été occupé pendant que 200,000 travailleurs fissent grève, cherchant l’unité de la classe ouvrière. Deux jours plus tard et dix millions travailleurs étaient en grève. Les grèves ont paralysé le pays, ces systèmes de transports et usines de manufactures ne marchaient pas. Tandis que la majorité du force d’ouvre ne travaillassent pas, les chefs d’unions ne trouvaient pas une situation révolutionnaire car le gouvernement pouvait se défendre en cas d’être attaqué. Elles ont pensé que la situation n’était pas aussi grave comme la description donnée par la presse. Elles ont essayé à trouver une solution diplomatique vers discussion et négociation. Cela n’était pas populaire avec les membres des unions ; pour lui les discussions était démontrait que les chefs étaient faibles, et qu’ils étaient déconnecté de leurs membres. Les travailleurs les ont accusés d’être bureaucratiques; une allégation très forte, parce que c’était la même allégation ils ont fait contre le gouvernement. Pour les chefs, pourtant, ces appels n’étaient rien de nouveau, et c’est facile à voir pourquoi ils ont voulu résoudre le problème sans arrêter le pays ! Les grèves étaient, cependant, très graves. La paralysie du pays était si sévère que les grévistes ont du mettre en place les mesures pour vendre les bases pour qu’ils puissent vivre. La grève était si totale que De Gaulle a dû donner un ultimatum : « moi ou le chaos. »
En ce qui concerne les effets de ce période, ils étaient encore limités ; les « accords de Grennelle » se sont constitués des mesures simples ; une augmentation de dix pourcent de salaire dans l’ensemble et une croissance d’un tiers du SMIC. Le grand changement était introduction du droit des unions d’entrer dans les usines et autres lieux de travails pour qu’ils puissent faire leurs affaires pendant le jour ouvrable. Ce droit a été formalisé dans une loi de décembre 1968, mais la plupart des clauses qui y sont contenus ont été proposés bien avant. La ‘révolution’ n’a qu’eu l’effet d’accélérer les négociations.
Le 15 Mars 1968, Pierre Viansson-Ponté a dit que la France soufrait d’une maladie politique dangereuse : « l’ennuie. » Les quatre ou cinq semaines qui sont Mai 1968 représentent l’effort des français de s’égaliser avec le reste de l’ouest. A l’Angleterre, et aux Etats Unis, la révolution sociale, et sexuelle, était bien en cours, suivant notablement l’influence de « The Beatles » un changement graduel s’est passé. En France quand même, les changements graduels ne sont pas populaires. Au lieu des manifestations courtes, extrêmes et dramatiques sont beaucoup plus françaises. Comme M. Julliard a noté, pour changer de Louis XVI à Louis XVIII, d’absolutisme à une monarchie parlementaire, les étrangers auraient choisis Louis XVII, tandis que les Français aient choisi Robespierre et Napoléon. Un fait qui n’est pas souvent considère c’est que les manifestations de 1968 n’étaient pas uniquement françaises. D’ailleurs, des petites révolutions, des changements de culture, et d’avis. En contexte des événements en France pourtant, tout ca est insignifiant. Mai 68 en France est bien plus célèbre à cause de son vitesse, et intensité. Qu’est-ce que c’es t l’importance de Mai 68 pour la France et les Français ? Ce n’est pas les résultats politiques, ou les changements de régime dont j’ai parlé. Au lieu, Mai 68 représente l’expression et plus, la confirmation d’un droit inhérent aux français : le droit à s’exprimer, se plaindre et de protester. La vraie importance de Mai 68 c’est de donner aux français la liberté de manifester, une liberté qu’ils n’ont pas hésiter d’utiliser.