affectent l'économie française et les français…
- Les jeunes issus de l’immigration déclarent préférer le mode de vie des
- Français (71%) que celui de leurs parents (20%). Le nombre des mariages
- mixtes augmentent depuis1992.
- Les enfants d’immigres réussissent mieux a l’école que les français de même
- catégorie socioprofessionnelle.
- Les immigre paient autant de cotisations sociales que le français de souche et
- dépensent moins en soins médicaux. On leur paie plus d’allocations familiales
- mais moins de retraites. Moins d’un tiers ont une aide au logement. Ils
- dépensent pourtant autant que les français bien qu’ils disposent de salaires
- inférieurs.
Les immigrés restent toujours attachés à leur communauté d'origine et à leur culture
de national ou « ethnique ». Néanmoins, leur participation à civique, à la communauté
et à la vie économique est également formée par les traditions politiques des sociétés
de centre serveur. Quelques pays se sont fondés sur l'immigration pour leur
développement (Etats-Unis, Canada, Australie, Argentine, etc.) tandis que d'autres ont
tendu pendant leur histoire à éviter l'immigration (les pays européens en général).
C'est l'une des raisons pour lesquelles le modèle d'intégration d'un nation-État ne peut
pas être transposé.
Il y a trois modèles principaux d'intégration pour des étrangers et des immigrés :
∙ Le prétendu modèle ethnique allemand selon lequel la nationalité est conférée
principalement par descente (sanguinis de jus), langue, culture et religion ; des
groupes « ethniques » étrangers sont considérés comme étant impossible assimiler et
la politique ne vise pas donc à les transformer en ressortissants ;
∙ Le prétendu modèle « politique » français, selon lequel la nationalité ensemble avec
la citoyenneté est basée en grande partie sur l'acceptation du droit du sol, lequel est
une combinaison du soli de résidence et de jus [lieu de naissance] et dans ce que des
identités « ethniques » sont confinées à la vie privée plutôt que d'à se renverser plus
de dans la sphère publique (sécularisme) ; le but implicite est l'intégration individuelle
de chaque immigré par des écoles et d'autres établissements ;
∙ Le modèle de British/US dans lequel des minorités sont identifiées (dans la vie de
la communauté, mais pas légalement) en tant que joueurs politiques ; ici, les
différences idéologiques peuvent mener aux formes collectives de ségrégation :
voisinages ethniques, et ségrégation dans des activités sociales et dans le lieu de
travail.
Les observateurs conviennent que le modèle français d'intégration a été réussi : les
vagues plus tôt de l'immigration (d'Italie, de Pologne, de Belgique, d'Espagne, etc.)
ont été assimilés ; les plus récents (du Portugal et le Maghreb) semblent être intégrés
socialement, culturelement et politiquement - bien que leur intégration économique et
professionnelle n'est pas encore complète. La référence aux critères standard
d'intégration semble confirmer ceci :
∙ les statistiques de nationalisation confirment l'efficacité du modèle : quand les
enfants des immigrés ont dû « manifester » le désir d'être français, quand s'appliquant
pour la nationalité française, la majorité accablante ainsi ; ils l'acquièrent maintenant
automatiquement ;
∙ il y a beaucoup de mariages mélangés (entre les et les étrangers français) : selon le
recensement 1999, 9.6% des 271.361 mariages célébrés dans 1998 étaient avec un
conjoint étranger ;
∙ à l'école, selon des sociologues, dans des circonstances comparables socio-
économiques et de famille, les enfants des immigrés sont au moins aussi réussis que
d'autres jeunes français ;
∙ en ce qui concerne le logement, il n'y a pas à proprement parler aucun ghettoes ; les
zones de « problème » contiennent les personnes vulnérables d'une variété de
différents milieux. Il devrait néanmoins considérer qu'étroit sur deux-tiers d'immigrés
vivez dans les villes de plus de 200.000 habitants (un tiers de phase dans Ile De
France).
À mon avis, je pense que l'immigration en France a créé beaucoup de problèmes
difficiles, tels que le racisme, l'exclusion de la société, intimidant et vivant dans la
pauvreté etc.… mais il y a beaucoup de manières dont ces problèmes peuvent être
surmontés, et il y a des avantages plus reconnaissables qui font à la France un grand
endroit pour vivre, en raison du fait que c'est une société multiculturelle.