Comme souligné dans le titre, le deuxième texte parle aussi d'injustice. L'injustice dont il parle est celle de ça laideur et la beauté de Phoebus – et à la fois la beauté d'Esmeralda. Il trouve injuste qu'il soit mauche alors que quelqu'un comme Phoebus – quelqu'un de superficiel – soit si
beau alors qu'il ne l'est pas à l'interieure. C'est un moment ou Quasimodo perd son confiance de soi, il se baisse par ce qu'il est mauche et que cela compte beaucoup pour les gens, mais comme il le dit, lui il est beau à l'interieure, ce qui est plus important. L'injustice, surtout, c'est que Esmeralda ne voit pas la beauté interieure de Quasimodo. Ceci contraste avec le texte de Hugo par ce qu'il réussit à joindre Quasimodo et Esmeralda par leurs injustices. Dans le deuxième texte l'injustice les s'épart, mais dans le premier texte leurs injustices crée un point commun entre les deux ; ils sont les deux à l'extrême de la société, celle des exilés.
« Et puis c'était une chose touchante que cette protection tombée d'un être si difforme sur un être si malheureux, qu'une condamnée à mort sauvé par Quasimodo. C'était les deux misères extrêmes de la nature et de la société, qui se touchaient et qui s'entr'aidaient. »
Il y a aussi pour thèmes la protection et la fragilité.
« [...] mais il la portait avec tant de précaution qu'il paraissait craindre de la briser ou de la faner. On eût dit qu'il sentait que c'était une chose délicate, exquise et précieuse [...]. Par momens il avait l'air de n'oser la toucher, même du souffle. »
Ce passage montre la protection de Quasimodo pour Esmeralda avec la peure que Quasimodo resens de “ la briser ” “ la faner ” – Hugo fait une interressante allusion en utilisant le mot faner, ce qui rappel des fleurs. Hugo réussit ceci on montrant la fragilité d'Esmeralda, en la décrivant comme “ délicat ”
Il y a aussi le thèmes de Dieu et la croyance. Dans le premier texte Hugo décrit à un moment Quasimodo comme “ auguste ”, “ fort ”, “ il intervenait si puissament ”, “ [...]il venait de briser [...] avec la force de Dieu. ”. Ceci change la percpective du lecteur de Quasimodo, avant il était pensé comme infirme, une monstruosité, et maintenant il est “ auguste et fort ”. Dans le deuxième Dieu est aussi évoqué, mais d'une façon differente; il est addressé.
Une chose que j'ai trouver interessant c'était de mettre ensemble les deux phrase thèmes “ Dieu que le monde est injuste ” et “ Quasimodo c'était arrêté sous le grand portail ”. Normalment si l'on parle du grand portail, l'on pense au portail du paradis. J'ai trouver interessant que les deux phrases ont un lien réligieux. Un fait interessant aussi c'est que Quasimodo s'arrête sous le grand portail, avant qu'il ne “ parle ” a Dieu en se plaignant de ça vie.
Dans mon opinion on peut mieux comprendre le charactère de Quasimodo dans la chanson, par ce que c'est une chanson et il y a plus d'émotion mais seulement quand on peut l'entendre chanté. Victor Hugo arrive à décrire le charactère et lui donné de la vie en lui même, ce qui est un rare talent dans le monde de la litérature. Avec une chanson de pièce théatrale c'est les mouvements, la choréography qui donne de la vie et je trouve qu'il y a une plus grande influence sur un spectacteur que par un lécteur, par ce qu'avec la chanson il y a plusieurs attribut qui peux le rendre plus émotif; mouvement -oeil-, voix et instrument et musique -oreille-, il y a plusieurs sens qui sont activé, alors que qu'on tout ce qu'on fait c'est lire, seul les pensées et l'imagination peuvent créer cette influence et la profonde compréhension du personage.