Ingrid Civet - Paper 1 - Voiture
Ces deux extraits ont un thème en commun qui est la voiture. Le premier est un extrait d'un article reprit par Serge Moscovici qui nous explique ce que représente une voiture dans nôtre société. Alors que le deuxième est un extrait d'une chronique sur l'automobile, publié en juillet 2006, qui lui se focalise sur la nouvelle merveille de voiture qui est l'Aston Martin Vanquish. Nous verrons les similitudes et les différences aussi bien du ton ou du style adopté par les deux auteurs.
Ces deux textes sont écrits de forme journalistique contenant quatre paragraphes et tout deux parlent de voiture, que ce soit en général ou sur une en particulier. Le premier texte est démontré un phénomène sociologique. Une réflexion sur les grands dangers et sécurité de la voiture. L'auteur souhaite nous communiquez ce que la voiture représente dans notre société d'aujourd'hui. Même si de nos jours les voitures sont considérées comme une " belle liberté que nous avons conquise " ici l'auteur préfère nous montrez un autre coté de cette soit dis en " liberté ". Ces voitures nous offres une liberté, mais " une liberté surveillée ! ". Ce qui peut être vue à travers la longue liste énumérant toute les fausses impressions de liberté ; " Et les contrôles - contrôle des papiers, barrage de police, contrôle des voitures, alcootest, espionnage du radar... " et plus encore. L'auteur ici est très didactique, il souhaite faire comprendre à son audience qu'il faut faire attention aux " bonnes vielles culpabilités (qui) se tiennent ainsi en éveil. " Car comme les deux textes le disent, avoir une voiture c'est comme être " en possession d'un permis de tuer ", ou encore que "au volant, vous êtes un mort ou un criminel en puissance. " On peut également constater que la voiture est comme " un lieu de solitude, lieu de désocialisation. " Chacun est dans sa voiture, chacun de son côté, isolé dans son véhicule. L'auteur souligne aussi le fait que les voitures sont tellement présentent dans cette société que plusieurs fois on peut " contemplez les bouchons sur le routes, les queues à l'entrée ou à la sortie d'une ville" et qu'on irait plus vite " à cheval ". Non seulement il y a un problème de trafic mais c'est aussi une prise de tête parce que plusieurs fois on peut voir " une automobiliste qui tourne en rond pour trouver une place ". Mais dans ce texte, l'auteur veut surtout faire comprendre le fais que " la vitesse n'est pas un nombre de kilomètre, mais un rapport espace-temps " et il souhaite souligner les dangers de ces voitures qui ont maintenant envahie notre société.
Ces deux extraits ont un thème en commun qui est la voiture. Le premier est un extrait d'un article reprit par Serge Moscovici qui nous explique ce que représente une voiture dans nôtre société. Alors que le deuxième est un extrait d'une chronique sur l'automobile, publié en juillet 2006, qui lui se focalise sur la nouvelle merveille de voiture qui est l'Aston Martin Vanquish. Nous verrons les similitudes et les différences aussi bien du ton ou du style adopté par les deux auteurs.
Ces deux textes sont écrits de forme journalistique contenant quatre paragraphes et tout deux parlent de voiture, que ce soit en général ou sur une en particulier. Le premier texte est démontré un phénomène sociologique. Une réflexion sur les grands dangers et sécurité de la voiture. L'auteur souhaite nous communiquez ce que la voiture représente dans notre société d'aujourd'hui. Même si de nos jours les voitures sont considérées comme une " belle liberté que nous avons conquise " ici l'auteur préfère nous montrez un autre coté de cette soit dis en " liberté ". Ces voitures nous offres une liberté, mais " une liberté surveillée ! ". Ce qui peut être vue à travers la longue liste énumérant toute les fausses impressions de liberté ; " Et les contrôles - contrôle des papiers, barrage de police, contrôle des voitures, alcootest, espionnage du radar... " et plus encore. L'auteur ici est très didactique, il souhaite faire comprendre à son audience qu'il faut faire attention aux " bonnes vielles culpabilités (qui) se tiennent ainsi en éveil. " Car comme les deux textes le disent, avoir une voiture c'est comme être " en possession d'un permis de tuer ", ou encore que "au volant, vous êtes un mort ou un criminel en puissance. " On peut également constater que la voiture est comme " un lieu de solitude, lieu de désocialisation. " Chacun est dans sa voiture, chacun de son côté, isolé dans son véhicule. L'auteur souligne aussi le fait que les voitures sont tellement présentent dans cette société que plusieurs fois on peut " contemplez les bouchons sur le routes, les queues à l'entrée ou à la sortie d'une ville" et qu'on irait plus vite " à cheval ". Non seulement il y a un problème de trafic mais c'est aussi une prise de tête parce que plusieurs fois on peut voir " une automobiliste qui tourne en rond pour trouver une place ". Mais dans ce texte, l'auteur veut surtout faire comprendre le fais que " la vitesse n'est pas un nombre de kilomètre, mais un rapport espace-temps " et il souhaite souligner les dangers de ces voitures qui ont maintenant envahie notre société.