Pendant des mois, Irteniev assouvit ses pulsions sexuelles auprès de la belle paysanne- Stepanida. Les deux se rencontrent, avec Eugène qui la paie chaque fois.
A ce point, il est bien loin de se douter du piège dans lequel ses irrépressibles envies l’ont jetée.
Au contraire, la mère d’Eugene croit qu’il devrait s’épouser, préférablement avec une jeune heiresse- à son désespoir il s’épouse avec la douce et sensuelle Lisa, une jeune fille de la moyenne classe, au romanticisme exacerbé. Honteux de lui meme il prend la decision de ne jais plus revoir la fille méprisable- en coupant brutalement ses experiences avec elle. Au fil du récit, Irteniev devient plus faible devant l’envie sexuelle qui déshonore-disons il est en perpétuelle lutte avec lui meme- et c’est cette opposition permanente entre le sexe sans amour et l’amour sans sexe, qui dirige la trame du roman.
Flash-forward. Apres un an du mariage, Lisa emploie deux paysanne pour aider nettoyer sa propriété - une de celle Stepanida. Quand Eugene s’en aperçoit toute sa passion qu’il pensait d’avoir oublier lui retourne-a boomerang. Pensant qu’il a résolu le problème, il l’a chasse.
Cependant ses prospects financières qui étaient guère améliorés se dissoudent quand sa fille nait.
Oui, c’est l’homme dans sa bestialité, dans sa laideur, le portrait cruel avec lequel Leon Tolstoit dresse l’espèce humaine. Plongé au coeur du vice et de la tromperie, l’auteur reveille le diable qui sommeille en nous. Repondre a ces envies, c’est sans doute oublier sa raison. Ce que Irteniev fait, apers avoir maintes fois tente de rejeter ses pulsions bestiales. L’homme est donc faible-incapable de dominer la nature.
Flash forward. A une fete provençale, il revoit Stepanida danser et pense alors de resumer sa relation. “Vraimenet elle est— le diable. Elle m’a possédé contre ma volonté”. Ceux sont les mots que Irteniev dit moment avant sa mort. Il se convainc qu’il y’a seulement trois options disponibles: échapper avec Stepanida et tuer sa femme, tuer Stepanida ou se suicider. Il prend son revolver, il le pointe à son temple, et il appuie le gâchette. Plein dans les milles…. GOALLL….
Ses parents, tourmentés, en le retrouvant se retrouvent tourmentées, pourquoi n’a t’il pas confié à ses proches?
L’homme est un faible qui ne peut aller a l’encontre de ses pulsions. L’auteur ne fait que montrer ce à quoi conduit le peché: la honte et pire encore, la mort dans le sang. Le voyant sur un coté chrétienne, la nouvelle peut être comprise comme une longue métaphore du “Tu ne commettras pas d’ adultère”.
Finalement, meme l’homme plus vertueux peut céder à la pire des choses et gare aux consequences…