Si la France était divisée en deux par une ligne de Bordeaux a Genève, on trouve que tous les départements sauf 6 au sud de la ligne étaient gagnant en taux de migration, alors que dans Le nord la moitié des départements ont perdu des migrants. Donc entre 1962-68 les régions où ces mouvements étaient prédominants, sont les régions urbaines ou industrielles comme la Paris et la Moselle.
La croissance urbaine a atteint le taux maximum en 1968, Cependant après 1962, la migration de population a cessé d'être le composant principal de la croissance urbaine. Jusqu'en 1982, on a remarqué une réduction de population dans les arrondissements parisiens où l'on a enregistré un haut niveau de migrants sortants, alors que la croissance de population était un phénomène du sud de la France. Sauf trois départements au sud de la ligne Bordeaux - Genève a enregistré des pertes de population. Il est évident que jusqu'à récemment, le mouvement de population migrante s'effectue des régions rurales vers les régions urbaines.
De les 87 départements en France, 72 ont enregistré une augmentation en population due aux migrations tandis que 72 enregistrent une perte en population rurale.
Chevalier (1950) a trouve que la migration en France était limitée au bassin parisien. En 1975, Paris a hébergé 16.3% de la population française, cependant le schéma du mouvement de population en France a été fait localement autour des lieux les plus vieux, comme Bordeaux, Marseille et Lyon. En fait Bordeaux était le noyau pour Le sud-ouest, mais le sud de la Bretagne, Les Vendes et l'Ouest de La Loire a eu pour noyau la région de Nantes. De la même façon Le Massif a possédé son propre bassin - Il se concentre vers Clermont Ferrand. L'ouest Central de la France a forme aussi une unité a l'Indre-et-Loire (Tours). Les sphères migratoires restantes sont un peu plus complexes. L'Ardenne - Champagne a formé un bassin avec les régions industrielles du nord. Le nord Bretagne était lie avec La Normandie, Lyon, St Etienne et La Drome. La sphère la plus complexe est le sud d la France comprenant la Haute Garonne, l'Hérault et les Bouches-du-Rhône. Montré sue le plan ci-dessous.
Cependant le mouvement rural urbain n'a pas montré de cassure des relations entre la ville et la campagne, t le plus haut de possession de résidence secondaire témoigne à cet effet. Plusieurs migrants d'origine rurale ont retenu des liens avec la campagne par la possession de propriété comme deuxième résidence ou par des visites régulières.
Alors que plusieurs Parisiens affirment qu'il n'y a pas de vie culturelle a l'extérieur de la capitale, les chansons rurales fournissent une évidence au retour aux origines rurales ou provençales.
Dans le passé, la migration a été souvent une activité des pauvres, mais aujourd'hui c'est plus une action de riches. Pour des périodes de temps dans les régions comme Les Alpes, Le Massif Central et Les Pyrénées, les migrations saisonnières étaient qu'une façon de garder la population en équilibre. Les femmes ont tendance a migrer sur de courtes distances. Les hommes, en revanche, migrent sur de grandes distances comme l'a montre le recensement de 1982. Le taux de mobilité des femmes étant supérieur a celui des hommes.
Pendant le mouvement rural-urbain, le recensement montre que les gens employés dans des activités économiques primaires a enregistrer le taux le plus bas relatif à la mobilité. Par exemple les fermiers, les marchands et les artisans. Les fermiers qui ont bouge, pour la plupart sont reste dans la même commune.
Le taux de mobilité le plus haut était enregistre pour les professions de cadres. Par ailleurs, la population des cadres (gestion, administration etc..) Ont tendance a migrer sur de longues distances. Les migrants qui ont décident de vivre dans les communes rurales, (toutes classes confondues) majoritairement achètent leur propriété puisque la location de propriétés est moins répandue dans les régions rurales.
Bien que moins de gens aient changé de départements pour un emploi en agriculture, un grand nombre de population ont fait le mouvement inverse (laissant l'agriculture pour des occupations plus urbaines). Pour les femmes le taux de mobilité le plus haut était vers l'industrie, le commerce et les professions libérales, Ainsi que la mobilité vers les services domestiques.
La migration interne à reflété et créée un dessin de différentiation régionale des chances en France. Elle a livré un symbole puissant d'échange économique entre la ville et la campagne. Son importance peut se résumer en 3 points :
Elle a mis en place des changements économiques dans la campagne.
Elle a fournit un mécanisme pour le changement social.
Elle a contribue au concept de réalisation d'une nation unie.
Les individus migrants, ramènent avec eux la notion que les choses sont faites différemment ailleurs. Ce qui a facilité la diffusion des tendances de comportement et des saveurs dans tout le pays. Un effet majeur des migrations, est la contribution à la création de la mentalité du mélange culturel.
L'importance des migrations internes pour l'économie, est la réconciliation partielle des tensions dialectique.
Comme la France possède une base agricole forte, la croissance du capitalisme industrielle a établit un déséquilibre entre les cites grandissantes et les régions d'agriculture (en baisse). Ces déséquilibres ont été corrige et rehaussent par les migrants.
La Migration a eu un impact profond sur la culture française, en posant des questions complexe d'identité ethnique, assimilation et intégration, souvent avec une dimension régionale marquée. Il est sur que les Français ont été considérablement moins migratoires que plusieurs autres états européens, néanmoins les Français ont fait un impact dans les régions d'Amérique, Le Canada, L'Amérique latine, des Caraïbes et L'Amérique du Nord.
Il existe 3 facteurs qui ont fait que les migrations de population française soit moins élevées que les autres nations :
La basse représentation démographique, (manque des gens a exporter).
La croissance des cite et l'exigence du travail a absorbe le surplus.
La variabilité du changement économique a eu le pouvoir de fixer les habitants.
Les taux d'émigration sont très inégaux et les nombres se traitent avec attention. Le nombres de français habitant a l'extérieur de France après 1945 a augmente considérablement. En 1950 qu'il y avait 265,000 français vivant a l'étranger, ce nombre a augmente à 1 million en 1975. Et aujourd'hui presque 3 millions de français habitent à l'étranger. Environ 46% de ce nombre sont dans les colonies d'Europe, 20% en Amérique du Nord et du sud, 30% en Afrique et 40% en Asie. De ces données, il y a 3 types de migrants :
Ceux travaillant dans le service public
Le commerce ou industrie (plusieurs travaillant pour les commerces français a l'étranger)
Les colonisateurs permanents.
Ce n'etait pas les régions cotieres qui sont touche mais les régions frontalières comme l'Alsace-Lorraine.
Apres 1975 les migrants partaient en Amérique dans des colonies a New York, San Fransisco et Dakota, ainsi que les Caraïbes et l'Amérique Latin. Les migrants français etaient important en Uraguay et au Chile, mais constituent une faible proportion dans la population d'Argentine et d'Australie. Les migrants français ont eu une contribution distinctive dans l'agriculture, la viticulture, la science et l'éducation.
Cependant l'exemple plus significatif est dans les colonies Nord Africaines. Apres 1945 la quote-part annuelle des français qui sont aller en l'Algérie était fixée à 12,000. Mais le nombre de français en Algérie est passe à 271,101 après les années de guerre. Les migrants d'Afrique du Nord se sont fait remarquer en particulier lors des effets dévastateurs subit par les vignobles. Apres les flux d'Amérique du sud, certaines colonies sont devenues des destinations majeures, surtout La Belgique, La Suisse et L'Espagne.
Les Français se sont fait distingues de n'avoir pas fait partie de la masse migratoire de vingtième siècle.
Les français n'ont pas été chasse de France par la pauvreté ou le chômage, mais ont migre à l'intérieur de la France.
Bibliographie
Immigration, racism& citizenship in France Maxim Sliverman
La France dans deux générations Georges Tapinas
A reasonable theory of migration G.Hyman & D Gleave
Migrants in modern France Philip Agden & Paul White
An atlas of International Migration Aaron Segal
Migration & the growth & spread of urban settlement R Morrill
Intra-Urban migration Charles Crosby
Internation population movements in the modern world Stephen Castles
Immigration & the idea of citizenship in France Adrian Favell
L'internet